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 C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels

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Tyler K. Becker
Tyler K. Becker
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MessageSujet: C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels   C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels I_icon_minitimeLun 25 Mar - 10:09

Sly Ҩ Tyler
« C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée »


L'écran allumé devant mes yeux, le reflet de Facebook dans les yeux, les mains posées sur le clavier, un petit rictus au coin des lèvres, voilà comment je glande sur l'ordinateur. Je n'avais rien à faire de particulier ce jour-là, j'attendais seulement le retour de Sly, elle était partie avec son frère et des potes pour le Canada, tant qu'elle pouvait le faire, tant mieux non ?

Je me levais de devant le PC, regardant l'appartement que j'avais depuis maintenant huit mois, j'étais content dedans, mais il était trop luxueux à mon goût, mes parents ne voulaient pas que j'oublis d'où est-ce que je venais, malheureusement. Une bière à la main, je me rendis vers la grande baie-vitrée afin de pouvoir observer les rues de Carefree, j'avais une belle petite-vue tout de même.
Ma voisine en face, je lui lançai un sourire, la saluant d'un geste de main auquel elle répondit, encore une histoire de quelques soirs, une véritable bombasse celle-là. Je me souvenais quand on passait la nuit dans les rues, avec Shane, on faisait que danser, de jour comme de nuit, on vivait pour la danse, on vivait pour être ensemble, mais il a fallut qu'elle veuille garder ce gamin... Sly n'était au courant de rien, pour elle, ça faisait huit mois que j'étais rentré de la marine seulement, et pourtant... En fait, c'était la même chose pour tout le monde d'ailleurs.

Le temps était passé, j'avais enfourché ma moto pour me rendre à l'appartement des LSD, leur initiales m'avaient toujours vendu du rêve, je crois que c'est presque ce que j'aimais le plus chez elles, mes p'tits bout de femmes... Le route passait sous mes yeux, je ne mettais pas de casques, je n'en avait pas envie, et j'aimais sentir le vent dans mes cheveux quand je défiais les limites de la vitesse. Petit dérapage, et me voilà chez les LSD, je garais mon engin de mort, puis je couru jusqu'à la porte d'entrée, un regard vers les fenêtres, les volets étaient ouverts, elles étaient là. Je couru alors jusqu'à l'appartement, essouffler, je frappais à la porte, attendant qu'elle ouvre. J'étais contre le mur, je jouais avec mon zippo, j'aimais voir le feu, l'aspect qu'il pouvait avoir. Je sortis dans mes pensées quand la porte s'ouvrit.
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L. Sly Daniels
Nymphomaniac and proud of it
L. Sly Daniels
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MessageSujet: Re: C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels   C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels I_icon_minitimeLun 25 Mar - 15:08


all you need is love... sex.
Ft. Tyler & Sly.
Je regardais l’heure à peu près toutes les cinq minutes sur mon téléphone. Tyler savait que je rentrais aujourd’hui. Il savait aussi qu’il me manquait. Il me manquait toujours. Ma semaine au Canada avait été absolument merveilleuse et même si j’avais passé de nombreuses heures dans les bras d’autres hommes : il était le seul que j’aimais, le seul que j’avais envie de voir, de retrouver après une semaine sans lui. J’avais envie de sentir sa joue contre la mienne et de me plaindre parce qu’il avait encore oublié de se raser. J’avais envie de sentir ses doigts, qui par automatisme, se glisser sous mes vêtements. Et plus encore, je voulais son corps chaud contre le mien : parce que j’étais amoureuse de Tyler. Je n’avais pas ressenti ça depuis une éternité. Et ma vie était trop compliquée pour l’accueillir aussi facilement. Liberty était avec Micah, Lloyd avec Jean. Mais ça m’était égal, parce que je savais que Tyler allait venir. Mais j’essayais de garder mon calme et de prendre mon mal en patience. Un jour, je m’en mordrais les doigts de trop me faire désirer. Mais pour l’instant, je n’envoyais aucun message à Tyler, rien, je ne donnais aucun signe de vie. Je me contentais de défaire lentement mes baguages, fourrant de temps à autre mon visage dans des pulls ou chemises que j’avais pris chez lui sans jamais lui rendre. J’étais niaise quand il s’agissait de Tyler. Parler moi de n’importe quel mec et je me transformais en véritable allumeuse, prête à lui sauter dessus à la moindre occasion, usant de mes charmes et de mes atouts comme je savais si bien le faire. Mais pas Tyler. Oh, j’avais constamment envie de l’avoir près de moi, à aller et venir à grand coup de reins ; mais malgré tout, j’étais capable d’en parler comme de quelque chose d’autre qu’une simple personne qui me faisait grimper aux rideaux. Parce que c’était Tyler et qu’avec lui, je n’étais rien d’autre qu’une adolescente absolument folle de son petit ami. Et j’m’en foutais si jamais avant de venir me voir, il s’était tapé une autre fille, tant que lorsqu’il était avec moi, il savait me montrer qu’il m’aimait et que dans tout les cas, aucune ne comptait autant que moi. C’était peut-être stupide de considérer notre relation comme aussi simple que de dire bonjour, parce que beaucoup ne supporterait pas une situation comme celle-ci. Mais moi, je m’imaginais difficilement vivre autrement. Comment aurais-je pu ? Ma vie s’était ça : me taper un inconnu, jouir, être heureuse et rentrer chez moi, avec les gens que j’aimais comme si de rien n’était, comme si ça n’avait pas d’importance : est-ce que ça en avait de toute façon ? Adepte du : BSDD : baise - service de chambre - douche – dehors, nous l’avions tous était pendant un petit moment. Et puis maintenant Lloyd était heureux avec Marley et Liberty avec Micah. Leur conquête respective restait pour le petit déjeuner, partager nos vies aussi facilement que s’il en avait toujours fait partie (bon certes, c’était plus vraie pour Micah que pour Marley, Liberty et moi ne digérions pas encore totalement le fait que Lloyd arrivait à se tromper autant : la femme de sa vie, c’était Jean). Alors que moi, quand il ne s’agissait pas de Tyler, la personne partait, au petit matin, au risque de m’entendre brailler comme une furie si avant que je ne sorte de mon lit, il n’avait pas déguerpie. C’était comme ça : ma vie. Tyler en faisait partie d’une façon que j’aimais peut-être autant que la façon dont j’étais amoureuse de lui : si fort et pourtant si compliqué.

Et puis le bruit d’une moto garé rapidement me sortie de ma transe de rangement, je poussais tout par terre pour faire de la place sur mon lit si nous avions l’occasion d’arriver jusque là. A vrai dire, je m’en fichais, s’il me prenait contre la porte d’entré, ça m’allait presque mieux que dans les draps. Le contact violent et dur de la porte à chaque coup de reins serait d’un réel plaisir pour moi. Mais est-ce que Tyler serait aussi obsédé par le fait de coucher ensemble après une semaine de séparation ? Rien n’était moins sûr. Pour moi, ça allait au-delà de l’envie, c’était un besoin. Ma nymphomanie allait me rendre folle, mais là, il fallait vraiment que Tyler soit consentant pour une partie de jambe en l’air à peine nos retrouvailles entamé. Des coups secs se firent entendre à la porte et comme une fusée, j’ouvris, agrippant mon amoureux comme un bébé koala, calant mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son coup. Avec autant de fougue, je lui plantais un baiser sur les lèvres, explorant sa bouche plus langoureusement que jamais. Il fit quelques pas pour entrer et je claquais la porte derrière nous. Entre deux baisers je chuchotais : « Oh mon dieu Tyler, tu m’as tellement manqué. » Mais déjà je sentais le désir grimper en moi, comme une petite araignée, remontant dans mon bassin, dans mon ventre, jusqu’à faire germer dans mon cerveau le besoin violent de ne former qu’un avec lui. « On parlera après. Je t’aime Tyler mais bon sang, tu m’as trop manqué. » Traduisez : Je t’aime mais s’il te plait, prend moi contre cette porte avant que je ne devienne folle. La délicatesse ce n’était pas vraiment mon fort, et s’il ne se décidait pas à m’arracher mes fringues, je le ferais moi-même.
© Belzébuth
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MessageSujet: Re: C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels   C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels I_icon_minitimeLun 25 Mar - 15:27

Sly Ҩ Tyler
« C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée »


A peine la porte ouverte, Sly me sautait dessus, j'avais l'habitude de la réceptionner de la sortes, en général je comprenais ce qu'elle voulait, c'était un peu un livre ouvert quoi. Je la serrai contre moi avant qu'elle ne s'empare de mes lèvres, ça m'avait tellement manqué, et dire que je n'avais pas envie d'elle serait mentir, car oui, je mourrais d'envie de lui faire l'amour, après-tout, on prenait l'habitude quand on sortait avec une nymphomane, on savait comment elle fonctionnait, et ce, dans les moindres détails. Je fis quelques pas pour rentrer dans l'appartement, et la jeune femme fermait la porte comme un réflex inné chez elle. « Oh mon dieu Tyler, tu m’as tellement manqué. » Je la posai doucement sur le sol, là pour le coup, elle était vraiment plus petite que moi, c'était facile de la dominer ainsi. Passer après tout ces hommes était parfois difficile à encaisser, je ne savais jamais d'où ils venaient, s'ils avaient des maladies ou autre conneries de ce genre, je sais que Sly se balade avec des préservatifs sur elle, mais on est jamais trop prudent... Personnellement, je n'allais pas toujours voir d'autres filles, avant oui, ça allait et venait, mais maintenant que le temps passe, je préfère m'accrocher à la seule femme que j'aime, la seule pour qui je donnerais la lune ; LSD.

« On parlera après. Je t’aime Tyler mais bon sang, tu m’as trop manqué. » Elle avait compris que je désirais lui parler, vu mon air grave sur le visage, mais bon, ça passerait après, c'est plutôt rare qu'un homme se fasse prier pour de la baise, et c'est rare quand une femme saute sur un homme pour ça, généralement, c'est l'inverse ! Je la plaquais contre la porte en une fraction de seconde, emparant ses lèvres à mon tour d'un baiser langoureux, j'avais l'impression de redécouvrir sa bouche, son corps, ses baisers, je la redécouvrais à chaque fois que je la voyais. Mes mains parcourait son corps, légèrement tremblant, mais tellement brûlant, je lui arrachai presque les vêtements qu'elle portait, à quoi bon en mettre quand j'arrivais ? Ni une, ni deux, elle finit nue, et moi également. Je descendis mes baisers dans son cou, puis sur sa poitrine pour enfin descendre vers son intimité et lui offrir sans doutes la plus belle des gâteries.
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MessageSujet: Re: C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels   C'est ma p'tite chérie, ma p'tite poupée || Sly Daniels I_icon_minitime

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