(Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire.

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marvin ainsworth

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Salut ! Moi, c'est Marvin Ainsworth J'ai actuellement 23 ans et toutes mes dents. J'ai vu le jour, un certain vingt mai, en Louisiane, je suis donc américain. Actuellement je suis photographe et cela me convient - ou pas -. Je suis ~~un renard ?~~ en couple depuis quelques mois et tente de vivre avec ça. D'ailleurs, je suis hétérosexuell pour ceux que cela intéresse. Certaines personnes disent que je ressemble à Marlon Teixeira et je fais partie du groupe Spark.

Just me, myself and I

est arrivé à Brighton à l'âge de quatre ans • a toujours vécu dans l’opulence mais n'en a jamais profité • est quelqu'un de très calme • n'est pas rancunier pour un sous, excepté quand on touche à Kayley • n'a été amoureux qu'une fois • déteste se mettre en colère • adore l'art • a tout arrêté pour devenir photographe • aime boire mais tiens malheureusement bien l'alcool • ne se drogue jamais • on lui dit souvent qu'il est trop poli • a commencé des études de droit et détestait ça aussi • ne montre pas quand il est fâché même si ça lui arrive peu souvent • adore l'automne et les couleurs calme • vit à Spark • aime le chocolat et les écharpes • trouve les boxer plus mignon que les string • n'est pas réellement en couple • fait tout ce qu'il peut pour enrager son père, mais pas trop • il ne voudrait quitter Brighton pour rien au monde • n'est pas fan de la technologie, la plupart du temps, il n'y comprend rien • a peur des chats et des animaux en général • aime faire de la plongée • aime voyager • est un type gentil mais reste un type avec des besoins... naturels

Behind the screen.

prénom/pseudo : suika/romane. → âge : dix huit balais, j'suis vieille. → présence sur le forum : everyday, if i can. → avis sur le forum : orgasmique et bandant. → comment as-tu trouvé le forum : :eheh:

→ double compte ou premier personnage (si dc, préciser qui) : j'ai Loli aussi. → crédit de la fiche : tumblr & instagram. → dernier mot : prosternez-vous (à peine) →

Code:: [size=15][color=red][/color][/size] marlon texeira ► [url=http://what-the-f.forumgratuit.org/t43-marvin-le-monde-est-un-cirque-ou-tout-le-monde-joue-la-comedie]marvin ainsworth[/url]

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once upon a time

J'ai jamais eu une vie très passionnante. Loin de là. Une enfance des plus faciles, très même. Et comme la plupart des gens sur terre, je ne me souviens pas de mes six premières années de vie. Sauf que j'aimais manger, crier et pleurer quand je n'avais pas ce que je voulais. Un vrai gamin, c'est le cas de le dire. Je n'aimais pas les endroits publics aussi. Parcs, garderies, crèches, tout ça me mettait dans des états pas possible d'après ma mère. Voir tous ces gosses hurlés pour un jouet en caoutchouc, c'était triste. Je n'échappais pas à la règle, certes, mais... Mais voilà, j'étais un petit prince. Ou pas. Quoiqu'il en soit, j'ai vécu jusqu'à mes six ans chez moi, avec ma mère qui restait à la maison, sauf quand elle devait aller à son boulot. Elle était une artiste, peintre, mannequins, photographe, elle touchait à tout, mais ne gardait jamais un boulot longtemps. Elle n'aimait pas la routine. Heureusement qu'on avait mon père pour subvenir aux besoins, car elle gagnait rien, même si elle était un peu reconnue. Et encore, juste par les gens qui bossaient dans le vrai art. Elle ne voulait pas devenir vraiment connue, on connaissait déjà trop mon père. Lui c'était un avocat reconnu. De père en fils, dans la famille on était des pros de la barre d'appel. Il était sur les plus grandes affaires, et adorait poser dans les magasines après avoir gagné un procès. Et maintenant il mettait même ses conditions, et ne faisait avocat que pour ceux ayant de l'argent et étant un minimum connu. C'est triste. M'enfin, voilà. A l'âge de quatre ans, je suis arrivée à Brighton avec mes deux parents. Un an plus tard, ils se sont séparés. Parce que ça n'avait et n'irait jamais entre eux, trop opposés, trop différents. Et puis surtout, maman n'était pas assez bien pour mon père. Pas assez noble, pas assez riche. Je n'ai jamais réellement souffert de cette séparation. Ma mère était une femme magnifique, et forte. Elle ne s'est pas laissé abattre, mieux, elle a revécut après leur séparation, et même si elle ne gagnait pas bien sa vie, elle était là pour moi, et c'est tout ce qui comptait. Avec elle, nous vivions dans un petit appartement à la lisière de Carefree. Avec mon père, je vivais dans une sorte de palace aux multiples chambres au fin fond de Spark. Avoir affaire avec la débauche ? Jamais. Ainsi à commencer la partie de ma vie dont je me souvenais. J'ai même pu aller à l'école, même si je n'ai jamais vraiment aimé étudier. Encore moins quand c'était la semaine chez mon père, dans son château aux milles pièces et aux courants d'air. Si je n'étais pas si rationnel, j'aurais pu croire qu'il était un vampire ayant peur de l'ail.

Là encore, rien de très intéressant. J'avais quinze ans et une première fois derrière moi. Oh, je n'étais pas un mec qui ne pensait qu'aux vagins (même si j'avais tout de même mes envie, bien entendu), mais tous les jours j'entendais mon père me dire que je devais faire attention à mon image avec les jeunes femmes respectables de Brighton, car ça pourrait retomber sur lui, et ça, ah non, il n'en voulait pas. Je l'aurais tué. Quoiqu'il en soit, je n'avais perdu ma virginité - et c'était vachement bizarre de dire ça pour un mec - avec une fille quelconque de Carefree, juste pour faire chier. Oh, bien sur, je ne lui avais pas dis, je tenais à ma vie. Mais c'était une revanche personnelle dans mon fort intérieur, et ça faisait un bien de fou. Du côté de ma mère, elle m'avait offert une voiture. Une voiture putain ! Parce que, je cite, je suis la première à qui tu l'as dit. Ma mère est aussi folle que moi. Mais bon dieu que je l'aimais. Elle avait brisé ses économies pour moi. Certains disaient que ce n'était pas possible de préférer un parent à un autre. Je vous assure que si. Et c'était ma mère mon héros. Je doutais même qu'un jour mon père m'ait embrassé. Et à vrai dire, je ne m'en portais pas plus mal. Ainsi commençait ma vie dans en étant un jeune homme. Dans un an, je passerai mon permis, au volant de cette superbe Jeep.

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once upon a time

Alors que j'atteignais les dix sept ans, j'ai fait la rencontre de Louisianne. Elle porait le prénom de ma ville natale, c'était drôle, mais c'était surtout le destin. Une petite blondinette pas plus haute que trois pommes. Une fille magique, dans tous les sens du termes. Dès les premiers instants, j'avais l'impression que je la connaissais depuis toujours. Que depuis toujours son sourire allumait mes journées. Elle était la fille d'une démocrate assez réputé. Je l'avais rencontré à une de ses soirées mondaines où mon père m'emmenait, espérant me trouver une femme à marier. Sauf que la seule jeune présente, c'était Louisianne. Louisianne, tout le contraire que ce qu'une "bonne" fille devait être. Les jeans troués, les cheveux en bataille. Mais elle était riche, et ça plaisait à mon père. Il fit abstraction de ses tenues. Et très vite, elle m'est devenue indispensable. Oh non, pas du point de vue que vous pensez. Une amie, une vraie, la seule et l'unique. Elle était ma meilleure amie. Nous n'étions pas un homme et une femme, nous étions juste deux êtres humains qui arrivaient à se supporter. Une vraie teigne, mais elle me rendait un peu moins... Ainsworth. Je devais plus Marvin. Nous passions tout notre temps ensemble. Elle avait mon âge, et elle était dans ma classe. De vrais larrons de foire. Comparaison idiote mais peu importait. C'était Lou' et Marvin. Jamais l'un sans l'autre. Entre nous, jamais d'ambiguïté, jamais rien de tel. Juste deux amis. Pour nous, il n'y avait pas besoin de décrire notre relation. Nous l'a vivions. Elle nous était vitale, comme un poisson avait besoin d'eau pour survivre, nous avions besoin de l'autre pour vivre.

Dans les années qui suivirent, mon père fit pression sur moi pour que je commence mes études de droit. J'avais déjà pris une année sabbatique qu'il avait moyennement apprécié. Voir pas du tout. Mais je n'en avais royalement rien à cirer mes chaussures. Je jouissais de le voir aussi en colère. Mais je ne pouvais faire autrement que de suivre ses désirs. Avec lui, je n'avais jamais eu de libre arbitre, et ma mère ne pouvait se permettre de me payer les études que je voulais. C'était soit le droit, soit rien. Ce fut le droit. J'avais l'impression d'avoir tout des petits M. Ainsworth. Dès les premiers instants, j'ai détesté ça. Ce fut une période affreuse. Je m'énervais rapidement contrairement à d'habitude. Plus loin je me tenais de mes camarades d'études, mieux je me portais. Ce n'était qu'une fois en dehors de ce bâtiment blanc que je me sentais respirer, renaître, redevenir moi-même. Le calme reprenait alors sa place à l'intérieur de moi-même, et je partais à la conquête d'un monde nouveau, un appareil photo dans les mains - ma nouvelle passion - allant dans les endroits sereins, verts, paisibles et sans traces d'hommes pour photographier tout ce qui passait devant mon objectif. Là, j'étais bien. Vraiment. Puis venait la torture de rentrer, une semaine sur deux, chez le padre. Toutes mes journées ressemblaient à ça. Une vraie vie de jeunes.

Ce fut à ce moment là que je commençais à me rendre aux soirées du côté des Carefree, mon père pas au courant, évidemment. J'eus mes premières cuites, mes premières buveries, et la continuité de la découverte des corps des femmes. Un réel bonheur. Je n'étais néanmoins accro à rien. Toujours flanqué de Louisianne, je découvrais le monde tel qu'il était réellement. Certes, un monde de débauche, mais un monde de jeunes quand même. Et j'adorais ça. Et puis bon, j'avais quand même hérité du côté photogénique de ma mère, et donc, j'étais plutôt mal foutu. Sans vouloir me jeter des fleurs. Mais lorsque l'envie se faisait sentir, j'arrivais facilement à me trouver une fille à mon goût. Pour une nuit endiablée, une nuit folle. Mais jamais totalement satisfaisante, malheureusement. Je n'avais jamais connu l'amour, les sentiments, l'envie d'avoir une personne avec moi. Je n'étais jamais tombé amoureux. Jusqu'à ce moment là...

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once upon a time

Cette soirée qui changea ma vie à jamais. Cette soirée qui me fit découvrir l'amour, cette soirée qui restera à jamais gravé en moi. Moi qui était retissant à y aller, accompagner une énième fois Lou à ses soirées étranges, j'avais bien fait d'accepter. Parce que... Non, je vais raconter ça depuis le début. Cette histoire mérite d'être racontée dans les moindres détails. Pour elle, pour cette fille. Pour mon amour.

Ses longs cheveux bruns dansaient dans le bas de son dos au rythme de ses mouvements, de ses pas gracieux. Son corps parfait attirait tous les regards, mes regards. Apparemment, elle était venue avec une amie. Sans doute, peut-être, ça m'était égal. Elle était devant moi et c'est tout ce qui comptait. A vrai dire, je ne savais pas trop comment l'aborder. Trop proche et trop loin. Salut. T'es toute seule ? fut tout ce qui sortit de ma bouche. Pathétique, mais apparemment accrocheur. Je suis resté toute la soirée avec elle on a même échangé nos numéros. Ses seules mimiques me rendaient fou. Cette fille était pour moi. Et j'étais prêt à sortir les griffes pour elle, si il le fallait. Kayley. Kayley. Son prénom sonnait comme un doux son à mes oreilles. J'aurais pu passer la fin de ma vie à la regarder. A la regarder rire, parler, sourire, faire la moue. A être elle. Très vite, elle est devenue quelqu'un d'important pour moi. Je ne savais pas ce que je ressentais, juste que j'avais besoin d'elle. Besoin d'elle près de moi. Pas comme Louisianne, c'était autre chose, bien plus fort, bien plus profond, bien plus sauvage. Bien plus bestiale. Je ne rêvais que d'enfoncer mes doigts dans sa tendre chair. Mais en bon gentleman que j'étais, je gardais mes mains dans mes poches, je restais stoïque. Je restais Marvin. Certes, elle restait beaucoup plus jeune que moi. Cinq ans quand même. Mais au fond de moi, je n'en avais rien à faire. Plusieurs mois sont passés, je passais le plus de temps que je pouvais en sa compagnie. C'était naturel d'être avec elle. Jusqu'au jour où nous nous sommes embrassés. Je ne saurais plus dire quand et comment. Je me souviens juste de l'effort que j'avais du faire pour ne pas la culbuter tout de suite. Ou la plaquer sauvagement contre un mur pour lui déchirer ses vêtements à même les dents. Cette jeune fille au vocabulaire trop vulgaire, au visage magnifique, à la personnalité parfaite.

Ce fut une année de dingue. Jusqu'à ce que tout s'écroule lentement mais surement. Ma mère m'annonça qu'elle avait rencontré quelqu'un, un type magnifique, parfait, sérieux. Un type nommé Read. Je ne mis pas longtemps à faire le rapprochement, je ne mis pas longtemps à voir mon monde s'écrouler. Kayley allait être... ma belle soeur ? Et ça aurait été trop beau que ça ne reste que la seule bonne nouvelle. Alors que je rentrais dépité chez moi, mon père m'attendait de pied ferme dans le salon. Mauvaise augure, très mauvaise. Je ne l'ai jamais vu autant en fureur qu'en ce jour. Il tenait à la main une feuille de papier. Un mail. Une photo de Kayley et moi s'embrassant. Avec un texte. M. Ainsworth, je ne savais pas que votre fils allait chercher de mauvaise part de gâteau. En tout cas, je préfère pour vous que pour moi. Quelle honte... Quelqu'un nous avait vu, et pire encore, nous avait pris en photo pour l'envoyer à mon père. Connard. Ce fut le coup de grâce.

Quelques jours plus tard, j'annonçais à Kayley que c'était fini. A quoi bon ? Nos parents sortaient ensemble, j'avais cinq ans de plus qu'elle, ça n'aurait jamais pu marcher. Nous sommes resté en contact, mais ce n'était plus pareil. Elle m'en voulait de l'avoir traité d'immature. Mais je préférais qu'elle me déteste plutôt que devoir la perdre pour toujours. Le marché était clair. Je retournais avec elle, et j'allais vivre aux USA. Je savais mon père capable d'une telle chose. Alors voilà, je restais dans l'ombre de ses dires. Quitter la fac de droit avait déjà été un gros plongeon vers l'abîme. Je ne voulais pas en plus perdre la vue, même lointaine de ma belle Kayley. Jamais.

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MERCI MERCI MERCI ENFIN J'AI MON MARVIN MERCI MERCI EN PLUS J'ADORE TES IDEES ET TOUT MERCI I love you

just me myself & i

F · just me myself & i ▲ MESSAGES : 617

Oh putain, ça c'est du re-accueil les filles, j'vous ~~baize~~ aime (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 2104563482

Kayley, contente que mes idées te plaise ohh

Ellen, faudra qu'on trouve un lien de la mort qui tue (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 2176505670

CET HOMME A ENFANTE LE DEMON NE L'APPROCHEZ PAS · just me myself & i ▲ MESSAGES : 76

Et moi j'arrive et je casse le mythe des filles ! :P

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MARLON QUOI !!!! JE VEUX TROP UN MEGA LIEN !!!!

just me myself & i ▲ MESSAGES : 55

T'AURAIS DÛ GARDER LES IMAGES DE TON ANCIENNE FICHE.

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"Kiara" Faith Charley a écrit:: T'AURAIS DÛ GARDER LES IMAGES DE TON ANCIENNE FICHE.

J'allais le dire (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 1881463262

ROMANE MON AMOUR HOME SWEET HOME EN ESPERANT QUE CE PERSO T'INSPIRAS. :max:

F · just me myself & i ▲ MESSAGES : 617

Comment refuser un lien avec Chico ? ** -> http://25.media.tumblr.com/tumblr_li8hv2ko6B1qh8obpo1_r1_400.gif
Oui mais les anciennes images, ben elles collaient plus au nouveau Marlon :max:

OUIIIIII j'suis sûr qu'il serra inspirant (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 2104563482

just me myself & i ▲ MESSAGES : 55

garde moi une place au chaud dans ton lit.

just me myself & i ▲ MESSAGES : 793

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F · just me myself & i ▲ MESSAGES : 617

Ah grrrrrr, avec plaisir Kiara héhéh

Et Nirv' (ouais flemme d'écrire en entier), je te MPotte alors, j'ai envie de savoir han

(oh oh ohhh, j'avais pas vu ces chats MONDIEU xD (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 3980076738

proud · just me myself & i ▲ MESSAGES : 616

garde moi un place avec toi dans n'importe quel endroit :eheh:

F · just me myself & i ▲ MESSAGES : 617

Promis, je marque ton nom. héhéh

dark paradise · just me myself & i ▲ MESSAGES : 336

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F · just me myself & i ▲ MESSAGES : 617

C'pas moi m'dame, c'est elles qui me sautent dessus (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 2763270137

SUPERM(an)EGADMIN | peasants everywhere I go. · just me myself & i ▲ MESSAGES : 2504

BEN VAS-Y VOLE LE TITRE DE MA FICHE JE TE DIRAIS RIEN SALOPIAUT (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 1881463262

F · just me myself & i ▲ MESSAGES : 617

AHAHAHAHHA je me disais bien que j'avais déjà vu ce titre quelque part (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 1881463262

Mais c'est parce que tu es un dieu (Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire. 2176505670

just me myself & i

» « Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. » Alon
» Marvin ~ it's fair to say you will still haunt me.
» MARVIN & SYRINE | Hé, ce soir j’te fait des crêpes et après j’te saute.
» Les seuls amis dignes d'intérêt sont ceux que l'on peut appeler à 4h du matin.
» comme j'ai pas d'idée de titre et qu'en trouver un me soule je vais juste vous dire que chris colfer est le meilleur. voila. → thunderson cousins.

(Marvin) ~ ce qui ne peut se dire, il faut le taire.

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