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 j'ai jamais cru aux contes de fées et pourtant, là, tout de suite, je crois que je pourrais y croire parce que je t'ai retrouvé. aime-moi, déteste-moi mais je t'en prie, ne m'abandonne pas. → JULES & STEW ♥

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P. Stew Marshall
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P. Stew Marshall
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j'ai jamais cru aux contes de fées et pourtant, là, tout de suite, je crois que je pourrais y croire parce que je t'ai retrouvé. aime-moi, déteste-moi mais je t'en prie, ne m'abandonne pas. → JULES & STEW ♥ Empty
MessageSujet: j'ai jamais cru aux contes de fées et pourtant, là, tout de suite, je crois que je pourrais y croire parce que je t'ai retrouvé. aime-moi, déteste-moi mais je t'en prie, ne m'abandonne pas. → JULES & STEW ♥   j'ai jamais cru aux contes de fées et pourtant, là, tout de suite, je crois que je pourrais y croire parce que je t'ai retrouvé. aime-moi, déteste-moi mais je t'en prie, ne m'abandonne pas. → JULES & STEW ♥ I_icon_minitimeMer 30 Jan - 0:26

Jules & Stew
“ tout ce temps passé à se chercher sans savoir qu'on était là, juste là. ”



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Trois heures du matin. « Aller Stew, viens te coucher, t'occupe pas de ça, on verra demain. » Ah non, pas la petite moue enfantine sinon je le bute. Je préfère ignorer sa remarque et continuer à range le bordel qu'on a foutu tous les trois. Règle numéro une : ne jamais nous mettre dans la même pièce, Alice, Maxime et moi. Ca part bien trop vite en sucette. La preuve en est que la baraque ressemble à un remake encore plus foireux de Bagdad et ça, c'est pas bon signe. Alice a sombré sur le canapé et je tente de faire attention à ne pas la réveiller. Je l'ai toujours trouvé magnifique quand elle dormait. Alice, c'est ma famille maintenant. Ma meilleure amie à la vie, à la mort. Une tempête de n'importe quoi mais qu'on est incapable de détester. Oh oui, je l'aime ma Alice, comme une folle. Alors que je dépose les vestiges de nos couverts dans l'évier, Maxime m'attrape par la taille et m'empêche d'en faire plus. « Mais arrête ça, j'pourrais pas m'en occuper demain matin laisse-moi faire ma part maintenant bordel. » soufflais-je. Il lève les yeux au ciel et refuse catégoriquement de m'écouter. « T'as au moins fais trois fois ta part alors maintenant arrête tout et viens te coucher sinon je t'y emmène de force, clair ? » C'est à mon tour de lever les yeux au ciel mais finalement, je rends les armes parce que, de toute façon, il finit toujours par gagner. Alors c'est en trainant les pieds que je suis allée me coucher. Oui, mais on a refait le monde en une demi-heure tous les deux. Comme avant, quand tout allait encore très bien.

Neuf heures trente. Je file en douce de chez les Thunderson. J'ai laissé un petit mot pour m'excuser. Je sais qu'ils ne m'en voudront pas. Il faut que je passe à la maison prendre une douche et me changer. Il était prévu que je passe la journée avec Jules aujourd'hui et je devais aller le chercher chez Kenaël. Ca, c'était une idée qui me plaisait particulièrement. Dix heures. Je pénètre en silence chez mon petit ami, en faisant bien attention à ne pas réveiller le petit. D'ailleurs, en parlant de lui, je m'arrête un instant devant son berceau et je l'observe dormir. Il semble si paisible, loin de tous les problèmes d'adultes, loin de se douter de toute l'animation qui règne autour de son petit corps. En vérité, j'avais très peur d'être confronté à lui au départ. Les gamins ne m'aiment pas. Toujours en train de pleurer ou de crier dès qu'ils me voient. Elouan n'a jamais réagit comme ça. Pour tout dire, je commence petit à petit à tomber amoureuse de ce petit bout de chou. Il se met à bouger, ouvre ses petits yeux et tourne la tête vers moi. Un sourire des plus niais se dessine sur mes lèvres. J'attrape avec délicatesse sa petite main dans la mienne et je me mets à chanter cette berceuse que ma mère n'avait de cesse de me chanter pour que je m'endorme quand j'étais gamine. Oh non, je n'ai pas la voix d'une chanteuse comme Liberty, loin de là. Je me débrouille comme je peux mais de là à dire que je chante bien, il y a de la marge encore, même si Maxime s'entête à me dire le contraire. Quelques secondes plus tard, le petit s'est rendormi. En ce qui me concerne, j'en profite pour aller me glisser dans le lit de Kenaël qui, d'ailleurs, m'ouvre grand ses bras et me dépose un baiser sur le front. Je cale ma tête au creux de son épaule et, comme bercée par les battements de son coeur, je m'endors presque aussitôt.

Onze heures trente. La baraque commence peu à peu à se réveiller. Une légère odeur de café me chatouille les narines. Du café. Oh mon dieu que j'aime ça. J'ouvre les yeux doucement, aveuglée par les rayons de soleil qui traversent la pièce. Kenaël est assis sur le lit, une tasse de café fumante dans les mains. Je me redresse et attrape la tasse que je m'empresse de poser sur le sol pour finalement attraper ses lèvres. Parce que oui, c'est clair, je suis carrément amoureuse de lui. Il m'en aura fallut du temps pour le comprendre. D'après qu'il vaut mieux tard que jamais. En attendant, avec mes connerie, j'ai bien faillit le perdre une fois de plus. Anyway. Après quelques tendres baisers, du bruit se fait entendre dans la cuisine. Génial, la belle au bois dormant - Kyan - et la blondasse - Jules - sont réveillés. D'ailleurs, Kyan ne tarde pas à débarquer dans la chambre pour nous prendre en photo. Merci le flash dans la gueule au réveil. Je lui revaudrais ça tiens. Je prends note. J'enfile mon jean et change de tee-shirt. Je pique le pull de Kenaël au passage et mets mes converses. J'attache mes cheveux en une vulgaire queue de cheval et je vais rejoindre les garçons. On déconne, on se fout de notre gueule à chacun parce qu'il faut bien avouer qu'on a franchement pas l'air très frais tous les quatre. D'ailleurs, j'en profite pour aller arranger ça en deux minutes : un léger coup de crayon noir sur les yeux et un trait fin d'un rouge à lèvre discret. J'arrange mes cheveux et les laisse finalement tomber sur mes épaules. Passer un peu de temps avec les jumeaux n'est jamais assez à mon goût. Entre mon confident et mon petit ami, j'ai comme l'impression de ne jamais les voir assez tous les deux, c'est frustrant à la longue. Anyway. Il est midi et j'arrive enfin à embarquer Jules pour notre petite journée en tête à tête.

Quatorze heures. J'aime toujours les moments que je passe avec le blondinet. D'aussi loin que je me souvienne on a toujours été de très bons amis. Oh oui, on s'envoie chier à longueur de temps mais ça, c'est parce qu'on s'aime bien. Qui aime bien châtie bien à ce qu'il parait. D'ailleurs, ce crétin m'a volé ma chaussure. « Putain Jules rends moi ma chaussure ! Alleeeeeeeer j'ai froid au pieds tête d'ampoule ! » Et il se marre comme une baleine en plus. Oh mon dieu je vais le buter. Après quelques minutes à batailler, j'arrive enfin à récupérer ma converse, non sans échanger un bisou. Putain mais qu'est-ce qu'il ne faut pas faire pour récupérer une chaussure quoi, j'hallucine. Bref. Partir sur un délire quelconque, faire semblant d'être vexés et c'est là que je l'ai vu. Sur son poignet, une tâche de naissance. Je bloque. D'ailleurs, je crois qu'il n'a pas mis longtemps à capter. « Non mais attends, c'est quoi c'que t'as au poignet Ju ? » Question totalement stupide étant donné que je connais déjà la réponse. D'ailleurs, il ne tarde pas à me confirmer mes soupçons. La photo me revient en pleine face. Non, non, c'est pas possible, ça ne peut pas être ce que je pense. Et pourtant, c'est si évident. Je connais le passé de Jules, cette photo est tout ce qu'il reste. Je déglutis avec difficulté et je reste un moment bouche bée. Il va me détester, je me déteste moi-même d'avoir à lui dire ça. « Jules ... Faut que je te parle, c'est genre super important ... » Je me mords la lèvre inférieure. Il va me prendre pour une tarée mais bon, au point où j'en suis, je crois ne pas risquer grand chose.


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J. Jules O'Ceann
J. Jules O'Ceann
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Jules & Stew
“ J'ai toujours espérer avoir de la famille, quelque part, et là tu me dis que t'es ma cousine ?! ”



[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
J’étais plutôt de bonne humeur ce matin-là en me réveillant, je ne sais pas pourquoi mais j’avais une pèche d’enfer et là preuve c’est que le pauvre Kyan en avait pâtit pour son réveil. Je m’étais éclaté à le réveiller d’une manière qu’il n’avait pas trop apprécié, mais qui m’avait fait bien rire. Il était onze heure trente après tout et il était largement l’heure de se lever, surtout que Stew devenait venir me chercher pour qu’on passe du temps ensemble. Stew et moi on se connaissait depuis longtemps, enfin quelques années quoi et je dois avouer qu’elle avait bien du courage à me supporter. Je n’étais pas le mec le plus adorable de la terre. En fait la plus part du temps j’étais un véritable connard. Vous savez le genre de mec qui repousse l’aide de tout le monde, celui qui préfère être seul plutôt qu’on le fasse chier, ben c’était à peu près ça. Et puis si j’étais devenu comme c’était la faute des gosses de l’orphelinat, pas la mienne. Ce qui m’avait connu avant le collège le savent, avant je n’étais pas comme ca, j’étais plutôt même le contraire. J’étais le genre de mec qu’on ne remarque pas, celui qui se met au fond de la classe et qu’on n’entend pas, celui qui se laisse marcher sur les pieds et qui est sensible, beaucoup trop sensible. Puis un jour au collège j’avais eu une sorte de déclic. J’en avais eu marre de me laisser faire et je m’étais défendu. Le mec qui m’avait cherché avait fini à l’infirmière alors que j’avais fini dans le bureau du proviseur avec un avertissement. Mais en fait ca n’avait été que le début. Après ca j’avais commencé à sortir, à boire, à fumer, à faire le mur. Puis ensuite j’avais commencé à toucher à la drogue, et était venu le sexe. J’en avais eu marre d’être le petit blond avec la gueule d’ange dont tout le monde se fout à longueur de journée alors j’étais devenu le mec à qui il ne faut pas faire chier si vous ne voulez pas vous faire frapper. J’avais commencé à enfouir mes sentiments au fond de moi, ainsi que mes blessures encore douloureuse. C’est comme ca que j’étais devenue celui que j’étais aujourd’hui, celui qui ne laisse rien paraitre. Pourtant au fond de moi je souffrais toujours de ne jamais avoir connu mes parents, je souffre toujours de ne jamais avoir été adopté, de ne jamais avoir été voulu par des parents. J’étais en colère contre cette société pourri, j’étais en colère contre le monde entier. Mais malheureusement j’avais encore des gens, comme Indiana, qui essayait de faire ressortir l’ancien moi, chose que je ne voulais pas. Enfin Indie était partie, elle ne faisait plus partie de ma vie maintenant alors je n’allais pas penser à elle maintenant. Je chassais ses pensées de ma tête alors que Stew, Kenael et son fils débarquait dans le salon. J’avais toujours eu horreur des enfants, ou plutôt les enfants avaient toujours eu horreur de moi, mais je dois bien avouer que celui-ci était plutôt mignon. Kenael c’était posé sur la canapé pour lui faire boire son biberon et je ne pus m’empêcher de regarder ce petit bonhomme. Mais très vite je détournais la tête pour me concentrer sur Stew et Kyan qui faisaient les idiots. Le temps passait avec une vitesse folle et il était quatorze heures lorsque je quittais l’appartement avec Strawberry. Nous nous étions mis à marcher dans les rues de Brighton et je dois avouer que faire chier Strawberry était vraiment du genre super tentant. J’avais donc fini, je ne sais même plus comment, à lui choper sa chaussures. « Putain Jules rends moi ma chaussure ! Alleeeeeeeer j'ai froid au pied tête d'ampoule ! » Et moi je fendais la poire, manquant même de tomber alors que je me louper le trottoir. Bon okay je n’étais pas très doué, mais vous devriez voir la tronche que tirait Stew, c’était à mourir de rire. « Tête d’ampoule ? Non mais où tu vas chercher tes expressions sérieux ?! » J’adorais faire chier Strawberry, c’était une des choses que j’adorais avec elle. Et même si je dois avouer qu’ils nous arrivaient de nous prendre la tête, je tenais à elle plus que les gens ne le pensait, surement même plus qu’elle ne le pensait. Je mis la chaussure au-dessus de ma tête avant de me mettre à courir tout en dansant en la faisant chier. Ouais j’étais bien souvent relou, je le savais mais bon j’étais comme ça. Je manquais une nouvelle fois de m’étaler par terre. Ah oui, ça aussi j’étais doué pour ça, pour me casser la gueule et me blessait partout. Leelou, mon docteur attitrait, en avait d’ailleurs marre de me voir je pense. « Bordel tu sais que tu fouette des pieds sérieux ? Tu te les laves des fois ? » Je lui lançais un regard genre Oo, avant que je ne remarque qu’elle fixait mon poignet. Si je me mutilais j’aurais plus flippé, mais je n’avais absolument rien au poignet. « Non mais attends, c'est quoi c'que t'as au poignet Ju ? » Je regardais mon poignet, non mais… Elle a reçu un coup sur la tête ou quoi ? « Euh… Ben c’est une tache de naissance ! » Je ris légèrement mais en voyant la tronche que tirait Strawberry je me vite à flipper. Pourquoi elle tirait cette tronche-là sérieux, elle me faisait flipper sérieux là. « Vas-y on dirait que tu viens de voir un fantôme. Péte un coup ca ira mieux hein. » Bon okay je dois avouer que des fois niveau humour je suis assez bas moi aussi, mais j’y peux rien, c’est mon moyen de faire passer les choses plus facilement. Mais l’expression de Strawberry ne changeait pas et elle continuait de fixer la tache de naissance sur mon poignet. « Jules ... Faut que je te parle, c'est genre super important ... » Ce fut mon tour d’avaler difficilement ma salive, chaque fois qu’on me disait « il faut que je te parle » ca finissait toujours mal. Voyons voir les fois où je l’avais entendu j’avais : perdu mes parents, ma meilleure amie c’était fait adopter à l’autre bout du monde, j’avais été renvoyé du lycée. « Okay tu me fais grave flipper là Stew ! Crache le morceau. »

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