elle aime le métier qu'elle fait ∞ elle a un chien que son petit ami lui avait offert, il s'appelle Sid ∞ elle a le même tatouage que sa soeur, le dreamcatcher sur le flan ∞ elle confond sa droite et sa gauche ∞ elle suce son pouce ∞ elle est fan des Guns'n'Roses ∞ elle déteste s'ennuyer ∞ elle est accro au frappuccino fraise/crème du Starbucks ∞ elle ferme les yeux quand elle réfléchit ∞ et elle fronce aussi un peu le nez ∞ quand elle lit, elle met les pieds contre le mur ∞ elle aime qu'on la claque contre un mur pour l'embrasser ∞ en général elle atteint l'orgasme quand elle est deux doigts d'étouffer ∞ elle chante sous la douche ∞ elle a toujours une capote sur elle ∞ elle est accro au sms ∞ elle a un forfait international ∞ elle écoute de la musique lorsqu'elle prend un bain ∞ elle ne couche pas que pour de l'argent, elle le fait aussi pour le plaisir parfois ∞ elle dit toujours des gros mots en français ∞ elle adore qu'on l'embrasse dans le cou ∞ sa couleur préféré est le bleu ∞ elle claque toujours les portes ∞ Sly, veut dire "Still Loving You". ∞ sa chanson préférée est "don't cry" des Guns'n'Roses

J’ai 19 ans, je suis nymphomane, VDM.

ONE - « L'enfance est un voyage oublié. » - Le sexe m'a sortit de l'enfance.

11 septembre 2001, New York connait une grande catastrophe, et moi je pointe le bout de mon petit nez à 8h49 précise. Soit 3 minutes après la seule et unique femme de ma vie (mise à part ma mère) Liberty, ma sœur jumelle. Nous sommes de vrais jumelles, totalement indissociable l’une de l’autre. Sauf lorsque l’on sait que ma sœur possède 4 tatouages de plus que moi. Je suis donc née moi aussi à Paris et plus précisément à Montmartre. Mes parents sont deux artistes anglais qui ont voulu vivre là où l’Art a vu le jour. Et quoi de mieux que la ville de l’amour pour ça ? Ma sœur jumelle et moi avons donc grandit dans un environnement bohème, artistique et libre. Une vie simple, avec des plaisirs simples. Parler l'anglais avec ma sœur, manger du pudding plutôt que des cuisses de grenouilles. Rire en regardant des films que personne ne comprenait à part ma jumelle et moi. Avoir une relation fusionnelle est indescriptible avec elle. Paris me manque parfois. Les paves des rues de Montmartre me manque. Le claquement de talons des femmes dans la rue. Les artistes de rue à qui je donnais quelques pièces que ma mère me confier. Je me rappelle avoir dévalé les escaliers, dans mes petites robes fleuris, la main de ma jumelle dans la mienne. Je me rappelle que nous restions des heures à regarder les artistes dans la rue. Ma mère les a souvent fait monter dans notre appartement pour les encourager à poursuivre leur rêve. Mes parents ont accomplis le leur en ouvrant une galerie d'art à Paris et ensuite à Brighton. A 11 ans, on m'a arraché à ma vie de petite Parisienne pour retourner en Angleterre. Est-ce que je suis déçu ? Est-ce que je rêve d'autre chose ? Est-ce que j'aspire à changer de vie ? Je ne crois pas non. Je me fiche de la personne que je suis devenue. Je vis comme mes ancêtres, ses artistes. Quand j'y pense, je suis au dessus de tout ça.

TWO - « Quand une jumelle est très jolie, sa soeur l’est aussi. » - Liberty c'est la plus belle.

« Comment tu t'es payé ça ? T'as piqué du fric aux parents ? Sly si on les voles toutes les deux ils vont s'en apercevoir. » Je pose le sachet devant elle, sans un mot. Je fixe ma soeur sans piper un seul mot, elle devrait savoir. « Si tu veux tout savoir, j'ai fait le tapin. Et à partir de maintenant, c'est moi qui t'achète ta drogue avec le fric que je gagne. Arrête de piquer du fric aux parents, ils sont pas cons. Et puis c'est de l'argent sale que je gagne, autant m'en servir pour des choses sales. » Je ne lui laisse pas le choix, de plus, ça me permettra de surveiller la dose et de la diminuer si besoin. Je n'encourage pas ma soeur à prendre des drogues, mais je la trouve tellement doué lorsqu'elle est sous leur emprise que je ne peux pas l'empêcher d'en prendre. Et puis je ne peux pas me permettre de la juger sur ça alors qu'il m'arrive de me faire sauter plusieurs fois dans la même journée et que les jours où ça n'arrive pas, je suis une loque. Elle n'est pas réellement accro aux drogues. Je suis limite nymphomane. Qui est la plus vouée à l'enfer ? « Faut que t'arrêtes de vendre ton corps comme ça Sly. » Je fronce les sourcils et fouine et dans les bouteilles qui trainent en dessous de notre lit. Je dis notre lit, car nous partageons le même grand lit. Lib' est ma soeur jumelle, je mourrais s'il lui arrivait quelque chose et nous nous sentons terriblement plus en sécurité ensemble. J'ouvre une bouteille et m'assois par terre, le dos contre le lit et fixe les peintures et dessin de Liberty : elle est douée cette conasse. « Je suis une pute. Une prostituée. Une péripatéticienne. Une catin. Une fille de joie. Double ça avec la nymphomanie dont je sais faire preuve. J'aime baiser et me faire baiser Lib'. Je sais ce que je fais en vendant mon corps. T'en fait pas pour moi. Et puis c'est pas comme si je ne me protégeais pas tu sais. » J'embrasse son front et me glisse dans les draps en abandonnant le cadavre de bouteille que je viens de sécher. Demain est un autre jour. Un autre jour où je vendrais mon corps pour payer sa dose à ma jumelle. Je ferais pas ça pour n'importe qui, mais pour elle, je le fais. Je ne fais pas que ça pour elle. On va dire que je fais un métier qui me plait.

THREE - « La prostitution est l'état ordinaire de la femme. » - On me paie pour ce que j'aime faire, alors autant m'encourager dans ce métier.

J'ai bu. Un verre ou deux je crois. Un ou deux grands verres. Pas de quoi me saouler, juste de quoi taquiner mon besoin de sexe. Sans tituber, je me dirige vers les toilettes et je sens qu'on me suit. Je ne pipe pas un mot. Si je pipe d'ailleurs, ça ne sera pas des mots. Je fais semblant de chercher de quoi me remaquiller et quand je relève les yeux sur le miroir, je sursaute, Liam est vraiment tout près. Mes doigts agrippent le lavabo et mes jointures deviennent blanches. Je jette un coup d'oeil à Liam en regardant dans la glace, un petit sourire significatif aux lèvres. Il sait ce que je veux, je sais ce qu'il veut. Je me retourne à peine qu'il est déjà presque collé à moi. Mes doigts sont habiles, ils défont ceinture, boutons et fermeture éclair et en quelques secondes ma main est déjà au contact du membre masculin. « Ce soir c'est toi qui paie Liam. » Je ne sais pas s'il paiera vraiment, mais je m'en fiche, j'ai trop envie de lui pour m'en soucier. Mes doigts touchent, palpent, caressent son membre alors que j'approche mes lèvres des siennes. Je cherche à tâtons une des portes de toilettes, l'entrainant avec moi. Je ferme le loquet avant de m'adosser à la porte. Nos souffles se mêlent, ma langue vient explorer sa bouche tandis que de ma main libre j'abaisse son boxer. Je défais les boutons de sa chemise avec une facilité d'experte et je commence à m'abaisser doucement, déposant quelques baisers sur son torse, mordillant la peau à quelques endroits, la frôlant tout juste avec mes lèvres à d'autre avant de soudainement finir par commencer les va et vient avec son membre entre mes lèvres. Je ne sais plus trop pour qui est délicieuse cette fellation que je prends plaisir à exécuter. Ma langue se fait habile autour du membre et mes doigts accompagnent parfois quelques gestes. La fellation est un geste que j'ai longtemps trouvé dégradant et indigne d'être commis par ma petite personne. Aujourd'hui je m'emploie juste à faire rentrer le membre de Liam le plus possible dans ma gorge avec des va et vient lent. C'est à présent lui qui pose son dos contre un mur et je pose ma main qui ne m'aide pas dans la fellation contre le mur. Ça me force à être encore plus près et à commettre des gorgées plus profondes. Trop profondes parfois puisque le coeur me montre au bord des lèvres. Je commence à connaître mes limites et celle là font partie de celle qu'on ne dépasse pas si on ne veut pas vomir en donnant du plaisir à son partenaire. Pourtant, je m'emploie à rester à l'aise dans ce que je fais. Je m'arrête une petite seconde de temps à autre, pour me souvenir de comment on respire, mais je finis par reprendre. J'attends le moment fatidique où Liam commencera à donner de petits coups de reins. Ça ne met pas si longtemps. Je me relève en passant ma langue sur mes lèvres. Mes doigts viennent à nouveau entourer le membre du mac, mais j'introduis deux de ses doigts dans mon intimité. Pas besoin de se débattre avec un sous-vêtement gênant, je n'en porte pas en dessous de ma jupe que je relève alors qu'elle est déjà bien courte. Pendant ce temps, je retire mon chemisier, je porte par contre un soutien gorge que je m'empresse de dégrafer. Je laisse tomber le chemisier et le soutien-gorge sur le porte-manteau casser des toilettes dans lesquelles nous sommes enfermé. Ses dents viennent mordiller un téton et il excite l'autre entre ses doigts. Sa langue joue autour du téton qu'il mordillait un instant plus tôt. C'est dingue ce que j'ai envie qu'il me prenne. Dans ses foutu toilettes alors que la porte pourrait céder quand il commencera à mettre de la rage dans ses coups de reins. C'est sale. Comme l'acte que nous commettons. C'est ce que certaine personne dirait. L'endroit où nous baisons est aussi sale que le fait de baiser alors que tout le monde pourrait nous entendre. Mais nous nous en fichons. Ce bar c'est un peu l'endroit de prédilection de la baise. Et nous n'allons pas nous arrêter en si bon chemin. Il connaît parfaitement mes points érogènes et il prend un malin plaisir à s'y attarder plus qu'à d'autre endroit. « Mhh ... » Comment lui en vouloir ? Finalement je reprends les choses en main quelques secondes, histoire de diriger son membre vers mon intimité. Je crochète mes jambes autour de sa taille. Le premier coup de rein m'arrache un cri et les suivants aussi d'ailleurs. C'est bon. Liam m'a apprit a aimer le sexe. Oh bien sûr, avant même de le connaître, ma vie était le joyeux petit monde d'une débauchée, mais j'étais plus une touche à tout comme ma soeur plutôt qu'une vraie accroc au sexe. C'est la seule raison qui fait qu'il peut se permettre de me plier à ses quatre volontés, il m'a apprit beaucoup. Il lui faut le temps d'un baiser pour me retourner et pénétrer de nouveau mon intimité en me faisant me pencher. Mes doigts s'agrippent aux tuyaux et j'encaisse avec un plaisir considérable ses va et vient. Les gémissements ont laissé place à des petits cris encore moins discret. En entendant des rires de l'autre côté de la porte je souris et lance un regard à Liam. Je ne simulerais qu'en partie. « Aaah .. Oui ! » Je fais exprès, j'hurle plus que ce n'est nécessaire. On n'entend plus rien du côté de la porte. Je ris intérieurement en me redressant juste un peu, je sens son torse venir se coller contre mon dos et une main habile venir palper un sein. Pourtant, les va et vient ne s'arrête pas. Et c'est là, alors qu'il maltraite mon téton d'une main, que l'autre vient entourer ma gorge pour me couper la respiration et que sa queue fait des aller et venue dans mon intimité ; c'est là que je prends mon pied. Réellement. Et que les cris que je pousse ne sont plus de la simulation. L'air vient à me manquer mais j'arrive à articuler : « Oui .. Mhh .. » Le plaisir malsain de se faire prendre dans les toilettes d'un bar ; c'est vraiment le pied. C'est aussi orgasmique que sa façon de me baiser. En parlant d'orgasme, je le sens monter. Je le pousse doucement sur le siège des toilettes que j'ai rabaissé avec le pied. Je ne laisse pas retomber le plaisir et m'empale avec rage sur lui, face à lui, ma poitrine contre son torse. C'est à moi à présent de commettre des coups de reins profonds, rageur. J'exprime mon besoin d'avoir mal en faisant de mon mieux pour que son membre touche le fond. Et j'aime ça. C'est aussi douloureux que jouissif. [...] Impatiente, ma main fait signe que je veux l'argent. « Je ne t'ai pas appris à demander l'argent avant de te faire sauter ? » Il sait que je vais prendre la mouche, ça l'amuse. Je lui tire la langue comme une gamine. « Viens avec moi. Je te le donnerais après. » Ça n'aurait pas été Liam, je n'aurais pas accepté. Docilement, je me place à ses côtés. Il me tape sur les fesses et je sursaute avant de lui lancer un regard noir, je ne peux pas avancer plus vite avec mes talons. Pourtant, il sait que je suis aussi impatiente que lui de le refaire, encore et encore. La nuit va être longue. « Tu me laisseras prendre une douche ? » L'invitation est à peine masquée. A quoi bon ? Je sais déjà qu'il va venir se glisser derrière moi alors que j'aurais à peine ouvert l'eau. S'il n'est pas dans la douche avant moi en tout cas. J'en ai le bas ventre déjà tout chaud de l'imaginer entièrement nu en train de me prendre sous la douche. Alors, je presse le pas. « Tu prendras une douche si on fait un strip poker après. » Il n'y aucune logique, car on devra se rhabiller, mais j'accepte. Le jeu en vaut la chandelle. Ses désirs sont des ordres. Sa main se place dans mon dos sans réellement me toucher avant de descendre un peu plus bas. Je me contente de sourire. Un instant mes yeux font le tour du bar et je lance un regard mauvais à toutes les filles qui nous suivent du regard. Ce soir je ne partage pas. Comment j'en suis arrivée à ça déjà ?

Mon nom est Leah Sly Daniels et je viens d’avoir 19 ans. La Nymphomanie est inscrit dans mes gênes. Vous savez ce que je veux vraiment ? Échanger quelques baisers langoureux avec différents inconnus pour savoir lequel me fera le plus de bien quand il me prendra dans les toilettes de l'endroit où on traine. Je veux l'alchimie d'un baiser brutal et brûlant pour une baise dans les toilettes. Je veux les marques d'une baise violente, des bleus, des morsures, des suçons. Je te veux toi dans les toilettes, lui dans une camionnette et que lui me prenne en levrette. Je veux tout ça parce que je trouve ça plus chouette qu'une branlette .