PV Cléa & Illa | Just a new funny sunny day with my two fairy
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Illa Ricci
WILD ANIMAL∞ CHAOTIC ANGEL
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Sujet: PV Cléa & Illa | Just a new funny sunny day with my two fairy Dim 3 Nov - 23:13
Illa Ricci & Cléa A. Laystar
HAVE FUN TOGETHER
« Allez Illa, tu peux y arriver.. » ne cessais-je de me répéter à moi-même.
Les doux rayons de lunes commençaient à être trahis par ceux du soleil. L'heure matinale, s'annonçait en même temps que les douces brises de vent chauds qui me fouettaient tendrement la joue, et faisaient remuer mes cheveux au fil des mouvements du souffle divin. Ce vent commençait à se tatouer sur mon corps, ce-dernier n'étant presque pas vêtu. Je faisais face, à mon pire ennemi. Ma peur. Celle qui rôde près de vous, qui vous renifle, vous laissant aussi stoïque qu'un arbre mort. D'un geste lent et tremblant, ma main droite tira sur le bas de mon bikini pour le remonter à la bonne hauteur. Mes yeux ne semblaient pas défaillir de leur principale cible. Mon cœur, étant assez en contradiction avec mon esprit, semblait vouloir s'échapper de ma poitrine, pour ne pas prendre part à ce calvaire. Lentement, je m’assois sur les dalles de pierre qui bordent l'eau tortueuse de ma piscine. Même si cela est une honte, je l'avoue, je ne sais pas nager. Alors que risquer ma vie chaque jours, est bien plus risqué et terrifiant qu'une simple baignade. Prenez les oiseaux en comparaison. Les plus jeunes, parviennent à voler après de nombreux essais. Le vilain petit canard, contrairement à ses congénères, n'ose plus ressayer après s'être cassée la gueule. Disons que je suis le vilain petit canard. Je laisse passer entre mes lèvres une bouffée d'air frais, et j'avance doucement mon pied vers l'eau bleue qui brille sous l'éclat de la lune et sous la poussière dorée du soleil qui commence à apparaître. Le temps semble s'arrêter. Il n'y a que plus que le simple mouvement de mon pied qui compte à mes yeux. Puis, lentement, mes doigts de pieds frôlent le liquide bleu.
« KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH » Ce cri sort de ma bouche comme celle d'une femme terrifiée. C'en est trop pour moi ! Je laisse tomber ! Rapidement et presque à tâtons, je m'échappe de ce cauchemar, je glisse à de nombreuses reprises sur les dalles et mon cœur rate plusieurs battements quand il sent que mon corps n'est pas loin de se perdre dans ce gouffre perlé, et ne plus jamais remonter. Mais je parviens à courir, et à rentrer à nouveau dans ce havre de chaleur sain qu'est ma maison. D'une démarche lente et vidée de toute motivation, je me laisse tomber sur le fauteuil de soie qui trône fièrement au milieu de mon salon, devant la télévision écran plat. Mon cri n'a apparemment sorti personne de ses rêves. Je remercie Dieu d'avoir offert le double vitrage à l'humanité. Je pousse un soupir vite dévié vers le murmure : « Haa.. Illa t'es tellement une froussarde que j'me demande comment t'es sorti du vagin de ta mère..» Ma tête tourne doucement des deux côtés pour espérer trouver la télécommande de la télé. Cette dernière est posée sur la table basse. Je la fixe quelques instants avant de tendre la main vers elle « Viens là..Allezz..Siiiiteplaiiiis..Fais pas ta pute..» Vous n'avez jamais parlé à une télécommande ? Je la regarde d'un air idiot, puis je laisse tomber mes bras et m'écrase contre le fauteuil « C'que j'peux être conne..» Mes paupières deviennent lourdes, encouragées par l'aura bleutée du petit matin. Puis je me redresse brusquement, faisant valser mes cheveux d'avant en arrière « Bon..Voyons voir si mon trésor est encore au lit. » Enfin une idée qui me paraissait divertissante ! M'annonçant plus forte que ma flemme quotidienne, je me ôte du fauteuil, et monte l'escalier d'ébène qui mène à l'étage. Je marche silencieusement pour ne pas réveiller ma petite fée lorsque je passe devant sa chambre et j'arrive enfin au bout du couloir. Lentement, ma main baisse la poignée de la porte de bois, me laissant entrer silencieusement dans la chambre de moi et de ma femme. Les faibles rayons qui traversent le store traversent ses cheveux dorés et les font briller de milles feux. L'idée de la piscine et de ce quotidien lassant est toute de suite oublié, et le sourire me vient au visage, en même temps que l'idée de la rejoindre dans ce lit enivrant. Doucement, mon corps s'allonge auprès du sien, et une de mes mains glisse le long de ses fils dorés, caressant ses douches mèches d'or. Je la baise dans le cou, avant de lui murmurer à l'oreille, un tendre murmure qui sera la sonnerie de son réveil « Coucou toi..Il est temps de se lever..»
Sujet: Re: PV Cléa & Illa | Just a new funny sunny day with my two fairy Lun 4 Nov - 3:32
Just a new funny sunny day with my two fairy
J'aime ce moment. Ce moment où je suis cachée sous ma couette, à demi consciente, où je suis ni en train de rêver, ni vraiment réveillée. Je sens que c'est bientôt le moment de se lever, mais je sais que j'ai encore un peu de temps devant moi. Alors je profite, souriant légèrement dans mon demi sommeil, sachant pertinemment que dans quelques minutes, ce doux moment sera déjà terminé. Je glisse alors ma main droite doucement sous mon oreiller, m'étirant un peu, les yeux toujours clos. Ma main gauche quant à elle, glisse doucement à côté de moi, là où ma femme dort chaque nuit. Je sens le drap froid sous mes doigts, et comprends rapidement qu'elle est déjà levée. Je tourne ma tête de l'autre côté et la bascule légèrement en arrière, c'est une position que j'aime beaucoup pour dormir, allez savoir pourquoi. Je retombe alors doucement dans mon sommeil, rêvant de tout et de rien. Mon esprit s'évade alors que mon corps reste là, dans cet immense lit, sans bouger.
De plus en plus, la lumière du jour perce à travers les stores de la fenêtre, et j'ai comme l'impression qu'elle m'agresse les yeux. Je n'ose pas les ouvrir, de peur d'avoir mal. Je reste alors encore quelques minutes sans bouger. Je sens que je sors de plus en plus de mon sommeil, ce qui annonce le début de ma journée chargée. Mais je prends enfin mon courage à deux mains, et décide d'ouvrir juste un oeil, histoire de regarder l'heure sur le réveil juste à côté de moi. « Brrrr... Pas déjà ! » Je marmonne légèrement et referme les yeux, voulant profiter de mes dernières minutes au lit. Dos à la porte de la chambre, j'entends tes pas résonner dans les escaliers, se rapprochant de plus en plus de ma chambre. Je suppose rapidement qu'Illa va arriver. Quel réveil pourrais-je avoir de mieux ? Un léger sourire sur mon visage apparaît, quand j'entends la porte s'ouvrir doucement. Elle fait attention, très attention, et ne veut pas me réveiller. Je ne bouge pas d'un cil, avant de la sentir se faufiler dans le lit. Ses douces lèvres se posent dans mon cou, et sa main caresse mes cheveux. Je me retourne alors pour être face à elle, et viens déposer un tendre baiser sur sa bouche, les yeux toujours fermés. Je blottie ensuite rapidement ma tête dans son cou, me mettant à ronchonner une nouvelle fois. « Etouffe-moi avec un oreiller, j'veux rester au lit ! » J'avais un ton presque enfantin. Je jouais souvent l'enfant pour arriver à mes fins, et Illa le savait très bien. D'ailleurs, en parlant d'enfant, la mienne n'allait sûrement pas tarder à se réveiller non plus, et quand Lilou se réveille, on a plutôt intérêt à être en forme parce qu’elle, elle ne rigole pas ! Je sors mon visage du cou d’Illa et ouvre enfin les yeux, avec tout de même beaucoup de difficultés. Je plonge mon regard dans le sien, et me mets à sourire bêtement. Il me suffisait de regarder ses yeux pour me souvenir à quel point je l’aimais. « T’as bien dormi toi ? Qu’est-ce t’as fait pour être déjà debout ? » Sûrement encore des trucs plus fous les uns que l’autre. Illa était totalement mon opposé : extravagante, folle, et sans gêne. Comme quoi, les opposés s’attirent, comme on dit ! Je me frotte les yeux tout en me redressant un peu, avant de m’adosser au fond du lit. J’avais déjà super envie de ma tasse de café. Mon café du matin était un rituel auquel je ne pouvais échapper. J’étais incapable de commencer une journée sans elle !
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Illa Ricci
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Sujet: Re: PV Cléa & Illa | Just a new funny sunny day with my two fairy Lun 4 Nov - 10:35
Illa Ricci & Cléa A. Laystar
HAVE FUN TOGETHER
Chaque jours, la raison de mon amour pour elle me revient aussi doucement qu’une chanson sur laquelle des rêves se tissent et me trottent en l’esprit. J’en viens parfois à me demander, pourquoi je l’aime. Je m’interroge à propos de cela, mais la raison de cette question, est juste pour penser à Cléa lorsque j’imagine chacun de ses traits pour construire ma réponse. Pourquoi je l’aime ? Je sens que je commence par ses cheveux dorés, car ce sont les fils qui aliment mes rêves. Les peigner de mes fins doigts, les sentir qui glissent contre ma peau avec une énorme douceur. Je donnerais ma vie pour toujours garder cette sensation d’une infinie douceur auprès de moi, auprès de mon cœur. La deuxième chose, serait le fait qu’elle tisse le moindre sourire à ma vue, ou à celle de sa fille. Ce sourire qui se grave dans mon esprit. Je le revois inlassablement, à chaque minute, à chaque seconde. Quand je sens que je commence à défaillir, que les problèmes me submergent, je repense à son sourire. Il trace son chemin à travers mes problèmes et parvient à me rendre heureuse. Il y a tellement de choses, importantes ou parfois insignifiantes, parfaites ou suffisantes, qui font d’elle un trésor inestimable. Je retombe en enfance, je me remets à rêver d’une grande innocence, quand je lui parle ou je la vois. Elle est tout pour moi, je suppose que vous n’avez pas besoin de dessin. Tant mieux, j’ai jamais su dessiner. Je la dévore du regard. Le moindre geste qu’elle fait, et je suis aux anges. Le sourire est grand sur mon visage et je la laisse blottir sa tête contre mon cou, ce qui me transmet une sensation de chaleur réconfortante. Cette chaleur que j’adore tant, une drogue à mes yeux. Je continue de peigner ses fils dorés de mes doigts, et je les laisse glisser contre sa nuque, que je me hâte d’embrasser. Cette journée est une nouvelle journée ensoleillée. Mais ce n’est pas le soleil qui trône là haut qui illumine mes journées. Il y a un soleil bien plus éblouissant que je serre comme un bébé. « Etouffe-moi avec un oreiller, j’veux rester au lit ! » Me demande-t-elle, me supplie-t-elle presque, de son enfantin. Celui que j’adore tant, celui qui me fait fondre. Et elle le sait très bien. Je deviens vulnérable, je ne peux rien faire contre elle quand elle est si adorable. Je relève doucement sa tête de mon cou pour l’embrasser tendrement, et lui répondre d’une voix amusée « Tu devra m’étouffer d’abord. Moi aussi, j’veux dormir. » Je souris bêtement en observant la couleur perlée de son regard, et elle me sourit également. Je l’aime. « T’as bien dormi toi ? Qu’est-ce que t’as fait pour être déjà debout ? » Je laisse échapper un petit rire à sa question. Elle me la pose presque tous les jours, s’attendant à une réponse de plus en plus déjantée. Elle savait très bien qu’il y avait une case dans mon cerveau qui n’était pas normale. Mais c’est ce qu’elle aimait, après tout. Je crois. Je baisse la tête vers mon bikini pour attirer son regard vers ces pièces de tissu noir. Puis je relève doucement la tête vers elle, et rit à nouveau « Je crois que tu peux deviner toute seule.. » Lui dis-je simplement. Elle allait sûrement s’interroger. Non seulement, la raison que je sois vêtue ainsi à une heure si matinale, mais également le fait que je sois totalement sèche. Elle va me prendre une folle. Et j’adore ça. Je l’adore. Je remarque en jetant un coup d’œil par-dessus ses épaules que la pièce est désormais totalement éclairée par le soleil. Ma bouche s’ouvre et je bâille à m’en décrocher la mâchoire. « Et toi bébé ? Bien dormi ? » Je faillis éclater de rire à nouveau, quand une petite voix fila à travers le couloir pour me parvenir aux oreilles. Visiblement, nous n’étions pas les seules réveillées. Il semblait que Lilou, racontait sa chère vie à qui voulait tendre l’oreille. Elle non plus, n’avait pas beaucoup dormi. Ma femme, l’avait également entendu. J’aimerais lui prouver à nouveau, que je suis là pour elle. Mes mains se posent sur ses épaules et je me penche en avant pour la plaquer à nouveau contre son oreiller, puis je dépose un baiser sur ses lèvres, dont le doux goût est un des mets les plus délicieux que je puisse connaître. « Repose-toi encore un peu si tu veux, je vais m’occuper de Lilou. » Je me relève en l’embrassant au passage sur le front, et je descends du lit, filant à travers le couloir pour retrouver ma petite fille adorée. Elle aussi, était mon deuxième soleil. J’ouvre doucement sa porte et entre à l’intérieur de la chambre. Je trouve une Lilou en pleine forme, toujours aussi craquante, tellement craquante qu’elle me fait fondre sans même le vouloir. En pleine conversation avec sa peluche, je l’attrape doucement et la retire de son lit « Coucou toi ! » Lui dis-je avec un sourire amusé. Sa petite voix me fait à nouveau rêver « Mamaaaaaaaaaaaan ! » Je dépose une multitudes de baisers sur sa petite joue chaude et je continue de la tenir dans mes bras. Je retourne devant la chambre de Cléa sans faire de bruits. Je ne peux m’empêcher de lui faire une blague idiote, celle que je fais chaque jour pour la faire rire et la mettre de bonne humeur. Je fais dépasser la tête de Lilou du mur de sorte à ce que sa mère n’aperçoit que sa tête qui dépasse. Puis, je saisis doucement le petit bras de ma fille, et l’agite sous forme de griffes vers Cléa. J’imite alors sa petite voix « Bwaaah ! Je suis le kraken venu des meeeers pour te dévorer ! »