LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ?
Sujet: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 17:17
Louise Hellie McCartney
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Salut ! Moi, c'est Louise "Lou" Hellie McCartney. J'ai actuellement 19 ans et toutes mes dents. J'ai vu le jour, un certain 13/08/1994, à Brighton, je suis donc anglaise. Actuellement je suis lycéenne et cela me convient - ou pas -. Je suis célibataire depuis l'ère glacière et tente de vivre avec ça. D'ailleurs, je suis hétérosexuelle pour ceux que cela intéresse. Enfin je crois. J'suis pas très sûre. Disons que je me fiche pas mal du sexe de la personne si je l'aime. Mais étant donnée que je n'ai fréquenté que des garçons, on va dire que je suis hétéro. Quoi que j'ai un peu peur des garçons maintenant... bref, JE SAIS PAS. Certaines personnes disent que je ressemble à Freya Mavor et je fais partie du groupe Crux.
Just me, myself and I
J'ai deux petits frères - Clément et Jules - que j'adore mais que j'aime beaucoup embêter • Je fume beaucoup, et davantage quand je suis nerveuse • Je suis de celles qui se rongent les ongles en pensant que ça va faire passer le stress • Je n'aime pas le sport • Je dessine, et d'ailleurs, les dessins sont souvent l'illustration de mes émotions • On dit de moi que je suis mystérieuse. En réalité, je suis plutôt réservée et méfiante • Clem et Andrew sont à peu près les seules personnes à me connaître sous mon vrai jour • Aux yeux des autres, je passe souvent pour une fille discrète, mais en réalité, je suis une véritable pile électrique doublé d'un moulin à paroles. Mais ça, c'est la facette que seuls les gens dont je suis proche connaissent • J'ai peur du noir, et je dors toujours avec les volets entrouverts de manière à ce qu'il y ait toujours un liserais de lumière • Je ne suis pas très bonne à l'école, mais c'est uniquement parce que je ne fais aucun effort • Je me suis faite violer à l'âge de quinze ans, mais seuls Clem' et Andrew sont au courant. Les autres pensent que je me mutile parce que je suis déséquilibrée, mais peu m'importe. • Je cache mes cicatrices comme je le peux parce que j'ai honte et parce que je déteste qu'on ait pitié de moi. J'suis pas suicidaire, j'aime la vie. Mais j'ai besoin de ça pour oublier mes blessures intérieures. Du moins, c'est ce que tente de m'expliquer mon psy • Je me mords toujours la lèvre inférieure quand je suis anxieuse • Je passe mon temps à chanter, même si selon mon frère je chante comme une casserole • Ma chambre est un véritable bordel • Je ne me livre pas facilement aux gens, et d'ailleurs, je déteste parler de moi • Je ferais tout et n'importe quoi pour les gens que j'aime • Je n'aime pas le café mais j'adore le chocolat chaud • J'adore manger la pâte à tartiner à la cuillère • J'aime bien me promener en sous-vêtements dans la maison parce que Clem' dit que ça choque son âme pure et innocente, et ça me fait rire • Quand j'étais petite, j'ai tenté de me colorier les cheveux au feutre marron pour ne plus être blonde comme Barbie • Je ne mange pas beaucoup pendant les repas mais grignote énormément en dehors • Je suis très observatrice et cerne assez bien les gens • Dès que je peux, je ne vais pas à mes rendez-vous chez le psy • Ma chanson préféré est "stairway to heaven" de Led Zeppelin • Je déteste me coucher tôt, et rares sont les fois où je me lève tard • Depuis mon viol, je ne suis jamais sortie avec un garçon • Je regarde souvent les dessins-animés le matin • J'aime les personnes qui savent me faire rire • J'écoute toujours la musique quand je suis seule dans les transports en commun • J'adore me promener sous la pluie • Le soir, je regarde souvent le ciel étoilé de la fenêtre de ma chambre • Je passe le plus clair de mon temps dehors mais dans des coins isolés • J'ai peur du vide • Je fais une collection de blagues carambar • Si mes parents avaient le choix entre moi et le chien, ils garderaient probablement le chien tant je suis "invivable" comme ils disent • Il n'y a que mes frères et Andreas qui ont le droit de m'appeler Lou. Je déteste que les gens que je ne juge pas assez proche de moi se permettent de me donner ce surnom.
→ Qu'est-ce qui est le plus important pour toi ? ta famille tes amis l'argent faire la fête → T'es plus le genre drogue ou alcool ? drogue alcool les deux aucun → T'es vierge ? oui non → T'as déjà avorté ? oui non → Tu danses la ginguandélire ? oui non → T'as déjà observé le clair de lune ? oui non → T'es déjà tombé amoureux ? oui non → Dans les fêtes, t'es plutôt celui... Qui danse sur les tables Qui drague tout ce qui bouge Qui reste dans son coin → La gossip, t'en as peur ? oui non c'est moi la gossip → Tu pues du cul ? oui non → Tu sens le chameau ? oui non → Hihahihaho ? oui non → T'as un tuteur légal ? oui non → Tu fais de la musique ? oui non → T'aimes les gosses ? oui non → Tu penses que les chinois domineront le monde ? oui non → Quelqu'un t'agresse au milieu de la rue... Tu te défends Il essaye de raisonner Tu pars en courant → Tu kiffes le cul de Maxime ? OUIIIIII ! non → T'as déjà fugué ? oui non → Tu pourrais courir un marathon ? oui non → Tu renifles les léopards ? oui non → Tu mets des couronnes de fleurs ? oui non → Ta saison préférée ? L'automne L'hiver Le printemps L'été → Tu manges des produits laitiers ? oui non → Tu es fan des moustaches ? oui non → Toi aussi tu fantasmes sur Leelou ? oui non → Brighton c'est le paradis ? oui non → T'es plutôt... thé café capuccino chocolat chaud → Tu trouves que la vie, c'est un kiwi ? oui non → T'aimes les licornes ? oui non → Tu pourrais boire du vin périmé ? oui non → Pikachu, tu le kiffes ? oui non → Le pêché que tu pardonnes le plus facilement? le mensonge l'hypocrisie la trahison aucun → Elle est bonne ton imitation du singe ? oui non → T'es gay ? oui non → Tu connais Bozo le clown ? oui non → Tu crois au prince charmant ? oui non → Ta relation avec tes parents, c'est plus...? Titanic La nuit des morts vivants Freaky Friday La vie est un long fleuve tranquille → T'as plein de secrets ? oui non → Andreas, c'est un petit con ? oui non → Ton modèle en matière de mode, c'est... Nabila Rocco Sifredi Lady Gaga Ton voisin → La tomate est-elle un légume ? oui non
Behind the screen.
prénom/pseudo : anaëlle. → âge : dix-neuf ans. → présence sur le forum : le plus possible, mais je vais essayer de venir au moins une fois par jour, la base. → avis sur le forum : j'suis tombée trop amoureuse. → comment as-tu trouvé le forum : grâce aux pubs sur Bazzart. → double compte ou premier personnage (si dc, préciser qui) : aucun dc. → crédit de la fiche : écrire ici. → dernier mot : CORNICHON (?). →
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[size=15][color=red]♦[/color][/size] Freya Mavor ► [url=http://what-the-f.forumgratuit.org/u378]Louise H. McCartney[/url]
Dernière édition par Louise H. McCartney le Sam 8 Juin - 11:50, édité 19 fois
Louise H. McCartney
just me myself & i
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 17:17
once upon a time
► chapter one,
Assise dans mon lit d’hôpital, adossée à mon oreiller, cela devait bien faire dix bonnes minutes que je m’amusais à faire tournoyer mon stylo avec mes doigts. Les murs blancs m’angoissaient. Les draps trop bien repassés m’angoissaient. La porte close m’angoissait. Le silence de mort m’angoissait. Bref, tout ici m’angoissait. De manière machinale, je lâchai un soupir et me décidai à ouvrir ce fichu carnet pour en noircir enfin la première page de mes mots. « Cher journal. C’est bien comme ça que je dois commencer, hein ? C’est ça la norme, pas vrai ? Apparemment, maman veut absolument me faire entrer dans un moule. C’est elle qui t’a offert à moi, va savoir pourquoi. Sûrement parce que les filles de mon âge font toutes ça. C’est ridicule. Je n’ai aucune envie d’écrire. C’est vrai quoi, j’ai pas besoin de toi. Je ne suis pas comme toutes ces midinettes qui s’amusent à garder une trace de toutes ces années où elles ont essayé d’attirer l’attention de leur amoureux du moment jusqu’à ce qu’il les remarque enfin. Ces filles qui font une liste des plus beaux garçons du lycée et puis qui les notent pour finalement sortir avec le premier qui se présentera. Franchement, j’ai une tête à ça ? Tu parles. Moi, j’ai une tête à me lacérer les poignets, c’est tout. C’est d’ailleurs pour ça que je suis en train de pourrir ici. Et c’est également pour ça que j’écris tout ça. Ça n’a aucun sens. J’ai pas une âme de poète moi, je suis plus volage que ça. J’ai une âme d’artiste à ce qui paraît. Je ne crois pas que ce soit vraiment le cas, c’est juste que j’aime dessiner. Et c’est pour ça que j’ai pas besoin de toi. Les mots, ça ne veut rien dire. » Un nouveau soupir s’échappa de mes lèvres tandis que je refermai le carnet en question d’un geste vif. Mais qu’est-ce que je fais ? pensai-je à voix haute. Je balançai le dit journal intime au bout de mon lit, et me laissa de nouveau tomber contre mon oreiller avec toute la nonchalance dont j’avais toujours fait preuve. J’EN. AI. MARRE. C’était une énième journée où je me demandais ce que j’allais bien pouvoir faire à part contempler le plafond. Dieu faites que quelqu’un m’appelle, Dieu faite que quelqu… TULULULULUT TULULULULUT – ouais, ça, c’est la sonnerie du téléphone. AMEN. Les puissances divines m’ont entendue. Sans perdre une seconde, je me redressai sur le lit qui grinça légèrement sous mes mouvements brusques, et décrocha le téléphone tout aussi rapidement. Allô ?A l’huile ! Ok. Ça, c’est Clément. Il n’y a que mon frère pour faire des blagues aussi stupides – si tant était que l’on puisse appeler ça une blague puisqu’au final, c’était même pas drôle. Enfin, lui, il avait l’air de s’éclater puisque je l’entendais rire comme une baleine. Ok. Puisque t’as decide d’être con, je vais chanter rien que pour toi. C’était genre la menace ultime. Je passe ma vie à chanter, ce qui n’est franchement pas à goût de Clément à qui je casse les oreilles à cause de – ou grâce à ma voix de crécelle supersonique. Si tu fais ça, j’te laisse dans ta merde. Trop tard. Give a little time to meeee or burn this out. We’ll play hide and seek to turn this ‘round. All I want is the taste that your lips alloooow, my my, my myyyy, oh give me lo…Ta gueuuuule. Déjà que maman m’a force à faire la vaisselle tout à l’heure, j’ai vu assez de casserole pour la journée ! C’était encore mieux quand il s’énervait, et j’aurais tout donné pour voir la tête qu’il tirait à l’autre bout du fil. En tout cas, pour le moment, je n’étais pas décidée à m’arrêter de chanter, et encore moins lorsque c'était Ed, non mais. C’est donc en souriant de toutes mes dents que je continuais à pousser la chansonnette, malgré les « ferme-la » et autres « ta gueule » que pouvait bien me lancer mon frère. Si t’arrêtes pas tout de suite, je raccroche à trois. UN… DEUX… TR…Ok ok, raccroche pas, pitiéééé, j’ai besoin de parler à quelqu’un, j’en peux pluuus ! La bouffe est dégueulasse, le personnel est aussi aimable qu’un porte de prison, ça pue l’eau de Javel toute la sainte journée et puis… je suis obligée de me parler à moi-même pour pas sombrer dans un mutisme mortel. JE DEVIENS SCHYZOPHRENE, OK ? me plaignis-je sans trop savoir s’il avait raccroché ou non. Le silence qui s’en suivit ne semblait toutefois pas de très bonne augure. Clem’ ? T’es là ? Quelques seconds s’écoulèrent avant que la voix de mon frère ne me parvienne à nouveau. Ah, désolé, j’étais parti jouer avec le chien. Non mais je rêve. Qu’est-ce qui m’empêchait de l’étrangler là, maintenant, tout de suite ? Hein ? Ah ouais, le téléphone peut-être. Mais bon, tu peux éventuellement me baiser les pieds pour te sauver de la solitude. C’est même conseillé.Je te baiserai les pieds le jour où t’auras fait correctement ton traitement contre les champignons, abruti des cavernes ! m’exclamai-je en faisant toutes sortes de gestes que Clément ne pouvait pas voir de toute façon. Mais quand même, j’avais l’impression que ça donnait plus de poids à mes propos. Bon, avec ou sans geste, le fait était que le blondinet n’avait pas de champignons – enfin, je crois pas – et que donc je n’avais aucun autre argument. Mais tant que nous étions à téléphones interposés, j’étais sauvée. Bref. Ce jour-là, nous avions passé une bonne heure à discuter, dont trois quart d’heure à s’insulter. Mais peu importe. Cela me faisait un bien ou de pouvoir lui parler. Parce que sans mon frère, cela ferait probablement longtemps que je me serais pendue avec mes draps. Je l'aime quoi. Nan, j'déconne.
► chapter two,
On m’avait enfin permis de quitter l’hôpital et de rentrer chez moi. Je dis « on » parce que je ne sais pas vraiment qui prend ce genre de décision au final. Mais quoi qu’il en soit, j’étais soulagée de pouvoir quitter ce bâtiment que je ne portais décidemment pas dans mon cœur. Le lendemain, pour la première fois de ma vie je crois, j’avais fait la grasse matinée, tant et si bien que je m’étais levée après tout le monde, même après les deux marmottes que sont mes frères. Munie d’un t-shirt trop large en guise de pyjama ainsi que d’une paire de grosses chaussettes chaudes, douces et moelleuses comme je les aime, je descendis les escaliers pour me rendre jusqu’à la cuisine, après être passée déposer un gros bisou sur la joue de Jules qui était bien calé dans le canapé pour visionner les dessins-animés. Si je m’attendais bien à trouver mon autre frère aux alentours de la cuisine, je ne m’attendais pas à y trouver la boucle d’or version Fawkes, j’ai nommé Andreas. Ok, mon frère et lui s’adorent. Ok, il est toujours fourré à la maison. Mais depuis quand il est là dès le matin, hein ? Personnellement, je n’avais jamais été très proche de lui. Peut-être parce que j’avais cette désagréable impression qu’il me prenait mon frère. Ou peut-être bien que c’était moi le problème. Etant très proche de Clément, j’avais cette fâcheuse habitude de le surprotéger et d’être un brin trop possessive avec lui, mais il fallait bien se mettre dans le crâne que le premier que je chope à faire souffrir mon frère, je le transforme en galette Sarazin à coup de poêle Tefal. Heureusement, Andreas avait toujours été irréprochable avec Clément, et pour cause, ces deux-là étaient comme les deux doigts de la main. De mon côté, je n’avais donc aucune raison de mal me comporter avec le bouclé. Un sourire crispé sur les lèvres, je pénétrai dans la cuisine, me contentant de foncer tête baissée vers le frigo pour en sortir la brique de lait encore à moitié pleine. Salut, marmonnai-je dans le même temps, sans grand enthousiasme. Avec le même automatisme dont j’avais fait preuve pour me rendre jusqu’au frigo, je me dirigeai vers le placard, empoignai un bol et un paquet de céréales, et allai déposer le tout sur le plan de travail. Par la suite, je m’asseyais en tailleur sur ce dernier – bah quoi ? Papa et maman ne sont pas dans les parages alors YOLO. L’air de rien, j’écoutai leur conversation, mais dès que j’enfournai une cuillère de céréales dans ma bouche, je n’entendais plus qu’un mot sur deux. Bah oui, les céréales, ça croustiiiiiille. Fait chier. Moi qui aimais toujours tout écouter, tout observer sans que personne ne s’en rende compte, j’avais mal calculé mon coup cette fois-ci. CRIC CRAC CROC. Ok, j’allais pas y arriver à ce rythme. Aussi, je tentai de lire sur leurs lèvres, les yeux plissés pour plus de concentration. T’es constipée Lou ? La voix d’Andreas me sortit très rapidement de mes pensées, et les éclairs que je lui lançai en un simple regard ne présageaient rien de bon. Louise. Je m’appelle Louise. Je détestais que l’on se permette de m’appeler ainsi lorsque je ne jugeais pas que la personne était assez proche de moi pour le faire. Et là, c’était le cas. Le regard que m’adressa Clément semblait en dire long sur son état d’esprit actuel, et je n’étais pas sans savoir qu’il détestait lorsque je me comportais ainsi avec Andreas. Je me contentai de lever les yeux au ciel, sans rien ajouter de plus, jusqu’à ce qu’Andreas ne reprenne la parole. Sans aucun scrupule, je lui coupai cette dernière. Clem’, j’avais prévu d’aller à l’étang pour faire peur aux canards en lançant des cailloux, ça te dit de venir ? Ouais, nous avions des passe-temps bizarres, mais bref, là n’était pas la question. La bouche pleine, je posai le regard sur mon frère, attendant une quelconque réponse de sa part, mais les quelques secondes de silence qui suivirent me firent bien vite comprendre que la réponse qu’il allait me donner n’allait pas me plaire. J’avais prévu de sortir avec Andreas en fait. J’aurais dû m’en douter. Au son de sa voix, je sentais qu’il était gêné, mais je m’en fichais pas mal. Pour la énième fois depuis que je m’étais levée, je soupirai bruyamment et balançai presque mon bol dans l’évier une fois que je fus descendue du plan de travail. J’aurais seulement aimé pouvoir passer du temps avec mon frère au moins le premier jour après ma sortie de l’hôpital. Mais Clément avait apparemment un tout autre plan pour la journée. Après avoir rincé mon bol, je me dirigeai de nouveau vers les escaliers sans lâcher un mot. Tu vas où ? Au fond, je savais qu’il s’en voulait et qu’il saurait être présent durant bien d’autres jours encore. Mais ce que je savais aussi, c’était que si Andreas n’avait pas été là aujourd’hui, Clément aurait accepté de passer cette première journée hors de l’hôpital avec moi. Qu’est-ce que ça peut te foutre ? le questionnai-je rhétoriquement sans même me retourner. Ce fut les derniers mots que je lui adressai pour la journée, ponctuant notre brève discussion d’un claquement de porte.
► chapter three,
Quoi ?Quoi quoi ? Du coin de l’œil, j’observai Andreas allongé sur le lit d’à côté depuis de longues minutes déjà. J’sais pas, tu me regardes depuis tout à l’heure. Qu’est-ce qu’il y a ? J’ai des pustules ? Je réprimai un léger rire avant de lui répondre. Nan, c’est pas ça. J’imagine au moins qu’il était rassuré à ce niveau-là, mais qu’il avait toujours envie de connaître la raison pour laquelle je le fixais ainsi. C’est bizarre… j’arrive pas à croire qu’on en soit arrivés là toi et moi, poursuivis-je avant même qu’il ne me pose la question. Il fallait dire que je n’avais pas été toujours tendre avec lui et que je n’avais pas su l’apprécier à sa juste valeur lorsque j’aurais pu le faire. C’est vrai, j’ai souvent été injuste avec toi… et même méchante, mal aimable et tout ce qui s’en suit, je dois bien l’admettre. Et aujourd’hui, regardes-nous. On partage la même chambre d’hôpital, et… Je marquai une courte pause avant de baisser le regard. Et maintenant, je ne sais pas ce que je ferais sans toi. Un sourire léger mais sincère vint étirer mes lèvres suite à mes propos. Je crois qu’en effet, Andreas ne saurait jamais vraiment à quel point je lui étais reconnaissante d’avoir été là pour moi lorsque j’en avais eu besoin. Si j’étais encore enfermée dans cette pièce aujourd’hui, c’est parce que je n’avais pas pu m’empêcher de recommencer. Je m’étais de nouveau taillé les veines. Et c’était pour cette même raison que le jeune homme était là, à mes côtés. D’ordinaire, les gens ne comprennent pas ce geste, et malgré toute leur bonne volonté, leur pitié ne m’aidait pas en quoi que ce soit. Andreas, c’était bel et bien la seule personne qui me comprenait, et c’était probablement pour cette raison que nous étions devenus si proches. FLASHBACK -Pourquoi tu t’es fait ça ? Cela faisait un petit moment maintenant qu’Andreas et moi étions devenus proches de par notre histoire commune si je puis dire. Mais en fin de compte, nous ne nous étions jamais réellement questionnés sur le fond de la chose jusqu’à aujourd’hui. Andreas se scarifiait. Je me scarifiais. Point final. C’était assez pour moi, je n’avais aucunement besoin d’en connaître la cause. Mais apparemment, il en était autrement pour le jeune homme qui semblait bien décidé à en savoir plus. Et pourquoi pas ? Ouais, faire l’autruche, c’était quelque chose que je faisais souvent, et avec brio en plus. Je n’aimais pas tellement avoir de discussions sérieuses, et encore moins lorsque cela m’impliquait. Toutefois, le regard insistant d’Andreas me poussa à prendre de nouveau la parole afin de poursuivre. Si je te dis que c’est un erreur et que je me suis simplement égratignée en tombant dans des buissons après une soirée trop arrosée, tu me croirais ?Je croirais tout ce que tu me diras, m’affirma le bouclé après avoir laissé naturellement paraître un sourire au coin de ses lèvres. C’était sûrement cette phrase qui m’avait décidée à tout lui dire. Pour la première fois de ma vie, quelqu’un avait réellement confiance en moi. Et la réciproque était vraie. J’ignorais pourquoi, j’avais comme l’impression que je devais tout lui dire. Evidemment, cela ne changerait rien entre nous, et j’étais persuadée qu’il ne m’en voudrait pas si je choisissais de me taire. Mais en parlant à Andreas, je n’avais pas l’impression de me confier à qui que ce soit. J’avais simplement l’impression de me livrer à moi-même, à un autre moi. De manière machinale, je fuis toutefois son regard et me raclai légèrement la gorge. Quand j’avais quinze ans, je suis sortie avec des amis pour faire la fête, tu vois, comme tous les jeunes de cet âge, commençai-je, tentant de ne pas me laisser submerger par l’horrible souvenir de cette soirée qui était désormais responsable de tous mes maux. En milieu de soirée, je suis sortie dans la rue pour fumer. Il faisait noir et un peu froid, mais j’étais trop bourrée pour m’en rendre compte je crois. J’étais pas inquiète. J’avais juste envie de me faire une clope. Juste ça. Les images défilaient dans ma tête, et je ne pus m’empêcher de marquer une minutes ou deux de silence afin de ne pas me laisser troubler par mes émotions. Et puis, un mec m’a abordé pour me demander de lui donner du feu. Il devait avoir la quarantaine, enfin, je sais pas trop, il faisait sombre. Il m’a dit que je devrais m’abriter dans la ruelle à quelques mètres de là, histoire que je n’aie pas trop froid à cause des légères bises de vent. Au début, je lui ai dit que ce n’était pas la peine, que je terminais ma cigarette et que j’allais rentrer tout de suite après. Mais il m’a agrippé le bras. Difficilement, j’avalai ma salive. Et… je l’ai suivi, terminai-je en essayant de ravaler les quelques larmes qui m’étaient montées aux yeux. Je n’avais pas besoin d’ajouter quoi que ce soit, Andreas avait compris où je voulais en venir. Je ne pouvais m’empêcher de me sentir coupable. Peut-être que c’était moi l’aguicheuse. Je me souviens encore de la petite robe noire que je portais ce soir-là. Me faire physiquement du mal, c’était une manière de me punir, parce que c’était moi la fautive, pas vrai ? Un profond silence s’était emparé de la pièce, et, avant même que je ne m’en rende compte, Andreas s’était levé de son lit pour venir s’assoir au bord du mien. Sans rien dire, il m’entoura simplement de ses bras, et je ne pus m’empêcher de déverser mes larmes sur ses épaules. Je détestais me remémorer l’épisode le plus douloureux de ma vie, mais paradoxalement, à ce moment précis, je me sentais bien. - FIN DU FLASHBACK. Je me souvenais parfaitement de ce jour où il m’avait promis d’être toujours là pour moi. J’avais fait de même. Si je détestais me retrouver prisonnière des murs bancs de l’hôpital, je savais désormais que je ne serais jamais seule, parce que c’était entre ces quatre mêmes murs que j’avais découvert un ami.
► chapter four,
Le lycée de Brighton, c'était devenu le site touristique par excellence, un peu comme un zoo humain. La seule différence, c'était que j'avais à la fois l'impression d'être le singe coincé derrière sa cage dont tout le monde rit, et le spectateur moqueur qui s'amuse de l'idiotie apparente du singe en question. Les autres et moi, nous étions deux spécimens à part entière et totalement différents. C'était un peu comme si je vivais parallèlement à eux, en fait. Pourtant, j'avais pleinement conscience de ce qui se passait autour de moi. Que ce soit aux yeux des bimbos écervelées, des fils à papa, des intellos coincés, des faux rebelles et de tous les autres, je n'étais rien d'autre que cette petite dépressive suicidaire qui se taille les veines parce qu'elle en a marre de sa vie pourrie. FLASHBACK -Inviter Louise ? T'es sérieux là ? Je la voyais regarder mes autres camarades de classe comme s’ils avaient sorti la plus grosse blague du siècle. D’ailleurs, pour elle, je crois que ça l’était. On ne vas pas inviter cette petite dépressive à notre fête, c'est une suicidaire cette fille, ça se sent à des kilomètres. Les seules soirées où elle doit aller c’est à celles organisées par son club sataniste ! J’arquai les sourcils suite à cette remarque. Elle avait considérablement baissé le ton, mais visiblement pas assez. Je sortais tout juste d'une énième hospitalisation, et je ne pouvais pas en vouloir à cette bimbo en mini-jupe de me juger sur ces visites régulières. Toujours silencieuse, le regard pénétrant, une clope entre les lèvres et une attitude intrigante : le parfait portrait de la jeune fille un peu sauvage mais plus dépressive que rebelle, comme on me l’avait souvent répété tout au long de ma vie. Ce qu'au fond je n'étais pas du tout. Ceci dit, je devais admettre que ça avait un côté pratique parfois, mais les gens que je rencontrais se faisaient rapidement une fausse image de moi. Car oui, je faisais semblant d’être cette fille-là, chose qui était devenue presque naturelle pour moi. Chacun de mes retours au lycée après un petit séjour à l'hôpital était difficile tant au niveau de ma réintégration que de mon acceptation personnelle, mais cette fois, j’en avais assez. Je m’approchai d’elle d’un pas décidé jusqu’à ce que je ne me trouve à quelques centimètres en face d’elle. Je m'ouvre peut-être les veines, ouais, mais c'est toujours mieux que d'ouvrir les cuisses. La jeune fille me regardait interloquée, presque tout autant que sa bande d’amis qui n’osaient piper mot. Alors c’est quoi ton problème exactement ? T’as peur de quoi ? Que je tienne mieux l’alcool que toi à ta soirée pourrie ? Non mais faut pas, dis-toi que t’as un avantage : même avec une immense envie de dégueuler, tu ne seras jamais aussi orange que tu ne l’es déjà. Ça va, tout le monde sait que tes deux semaines de vacances tu les as passé dans un salon d’UV et pas en Espagne. La prochaine fois, contente-toi de manger des carottes. De toute façon, c’est bien ce que font les lapines, pas vrai ? J’avais craché ses mots aussi naturellement qu’il était possible, et ça, c’était vraiment moi. Directe, crue et impulsive. Mes propos avaient visiblement touché la poupée Barbie qui me faisait face puisque celle-ci brailla des jurons incompréhensibles avant de me pousser violemment. Et c’est ainsi que je fus embarquée dans une bagarre entre fille avant de filer tout droit dans le bureau du proviseur. Au final, je m’en étais bien sorti. Alors que je m’étais imaginé tout un scénario horrible tournant autour d’une potentielle exclusion, j’avais en fait récolté trois mois d’intérêt généraux. - FIN DU FLASHBACK. LOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISE ? Ça, c’est très mauvais signe. J’entendis les pas de maman tambouriner dans l’escalier puis se diriger jusqu’à ma chambre dont elle ouvrit la porte d’un geste vif. QUOI ENCORE ? J’te jure que c’est pas moi qui ai bouffé les toasts pour les invites. D’ailleurs, c’est Clément ! Non, c’est Corn Flakes, d’accord ? Et c’est pas toujours moi hein, j’en ai marre ! Ok. En vue de la tête que tirait ma mère, elle n’était visiblement pas au courant pour cette histoire de toasts et elle était là pour une tout autre raison. Pourquoi je parle trop, hein ? POURQUOI ? J’sais pas moi, amputez-moi a langue, faites quelque chose. Qu’est-ce que… bon, on verra ça plus tard. Pourquoi tu as séché les cours la semaine dernière ? Et merde. Je me doutais bien qu’elle allait être avertie un jour ou l’autre, mais pas aujourd’hui, je n’étais pas préparée psychologiquement en fait. Bah euh…Ce n’est pas un argument, Louise. Oui, merci maman. Si au moins tu m’avais laissé finir ma phrase, hein. Bref. Je fermai le capot de mon ordinateur et me redressai sur mon lit. J’avais pas envie, c’est tout, répondis-je alors le plus naturellement, comme si c’était normal. Je vis ma mère lever les yeux au ciel, ce qui me fit laisser échapper un soupir. Louise, ce n’est pas à toi de faire le choix d’aller à l’école ou non. Je savais que mon comportement l’agaçait profondément parfois, mais au fond, je crois qu’elle n’ignorait pas que c’était dur pour moi d’affronter le regard des autres. Cependant, je ne faisais pas tous les jours l’école buissonnière, et c’était la première fois que je séchais une semaine entière. Tu devrais essayer d’être un peu moins sauvage et de te lier plus facilement aux gens. Cette fois, ce fut à mon tour de rouler des yeux. Les gens qui ne se fiaient qu’aux apparences ne m’intéressaient pas, c’est tout. Tu sais très bien ce que j’en pense. Ils sont inintéressants et superficiels. Ils critiquent plus qu’ils ne participent en cours tu vois. Et tu sais quoi ? Je pense que leur cul doit être jaloux de toute la merde qui sort de leur bouche ! Sans rien ajouter de plus, je rouvris mon ordinateur comme si de rien n’était, et attendis que ma mère ne daigne tourner les talons. Lorsqu’elle se décida enfin à faire demi-tour, je l’interpellai une dernière fois. C’est bon… j’y retournerais lundi, me contentai-je de lui dire pour toute conclusion. Mais après tout, je lui avais simplement promis d’y aller lundi, pas la semaine entière. Non. Seulement lundi. Sécher ou pas, faire acte de présence ou pas, peu m’importait. Par habitude sans doute, je ne faisais plus vraiment attention aux remarques que l’on pouvait bien me faire, peut-être parce que je ne me reconnaissais tout simplement pas dans ce que les autres voyaient en moi. J'étais tout sauf cette fille-là. Du coup, aller au lycée ou pas, je m’en fichais pas mal en fait. J'y allais en touriste de toute façon. Après tout, c’est le propre d’un lieu touristique, non ? On y va quand on a envie ou quand on a le temps, c'est tout.
► chapter five,
Je m’étais réveillée en sursaut, les yeux humides de larmes. Ce n’était pas la première fois que je faisais ce rêve horrible, le rêve d’un souvenir tout aussi horrible. Je ne sais comment ni pourquoi, mais de manière presque automatique, je m’étais emparée du journal intime que ma mère m’avait offert et qui trônait sur ma table de nuit. Je ne l’avais pas ré-ouvert depuis la première fois où j’avais écrit dedans, parce que pour moi, c’était également la dernière fois que j’y inscrivais mes mots. La dernière jusqu’à cette nuit. Stylo en main, je pouvais remarquer que j’avais les mains moites et encore tremblotantes. « Encore ce fichu cauchemar. J'ai l'impression de revivre cet épisode encore et encore, tant et si bien que je m'en souviens parfaitement, comme si c'était hier. La force et la vigueur de ses gestes, les caresses de ses doigts, son souffle dans ma nuque et ses râles de plaisir qui se mélangeaient à mes sanglots. » Depuis ce jour, j'avais changé, et c'était ce que l'on m'avait souvent reproché. Mais c'était légitime, pas vrai ? Je n'avais jamais eu le courage de parler de ça, à part à ce... journal. Contre toute attente, je me sentais soulagée. C'était peu comparé à ce sentiment qui m'envahissait toujours depuis ce soir-là. Mais pour moi, c'était déjà beaucoup. « En fait, je me suis trompée... maman avait raison. Ça me fait du bien d'écrire. »
Dernière édition par Louise H. McCartney le Lun 10 Juin - 12:25, édité 28 fois
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 17:17
+3. -au cas où, on sait jamais hein-
Clément J. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 17:20
T'ES BELLE MA SOEUR JE T'AAAAAAAAAAAAAAAAAAIME
Abby-Lou "Stitch". Hills
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 17:34
KJZEHRFNIEJKLJZAEHIBGEKJZLEJZ OJAIKHJGTBNIZEOLKJRHTBEJ FREYA EJRKGZHNE?POLKAZE PUTAIN JOMEURS ADIEU RIP MOI ZSKJEHRFBJTE ELLE EST TROP BELLE OMG EDJRKJGLHE FREYA FREYA FREYAAAAAAA
OUELCOME PARMIS NOUS PETIT CHAT ET COURAGE POUR TA FICHE
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 18:01
Oh merde , c'est que t'es bien bonne toi
Bienvenue et bonne chance pour la suite
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 18:08
bienvenue officiellement !
Nirvana Yyoman
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 18:23
OUELCOOOOOME.
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 18:59
Merci beaucoup, vous êtes trop des chouuuux.
Marvin Ainsworth
◮ Fear me, Suck me, Fuck me ◮
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 19:53
Je répète myself but on s'en fout FREYAAAAAAAAA NON DE DIEU QU'ELLE EST BANDANTE En plus ton avatar gère sa mère quoi, soooo.... ->
Elian l. Tràn
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 20:00
melgjzemlgjzgmze, fz. *lui tatoo "propriété de Liam" sur le corps* FREYA. LOUISE. MZJGZMLJG. So, ouelcome parmi nous, bon courage pour ta fiche
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Dim 2 Juin - 20:15
Aww, vous êtes boooooo. Merci les gars. Azy y'a que des gens trop bandants sur ce forum, cet accueil de ouuuf. Jevouzem.
L. Kaylee James
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 3 Juin - 7:56
FREYA + L'AVA + LE TITRE + TWAAAAAAAA TOUT SIMPLEMENT JOMEURS.
Maxime S. Thunderson
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 3 Juin - 14:21
C'EST A GADOUE LA MAGICABOU LA BIBIDIBOBIDIBOU
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 3 Juin - 17:01
KAYLEE - aaaaaw, Selenaaaaa ! Jomeurs aussi, omg, viens on meurt à deux. MAXIME - RIGHT. Je me retiens juste pour pas mettre un milliard de smileys, okkk.
Hope P. McNelly
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 3 Juin - 19:42
Ton titre m'as tuée ! :B Bienvenue !
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Mar 4 Juin - 14:42
Haha, merci joulie Zoellaaaaaaa.
Clément J. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Mar 4 Juin - 16:26
Je passe juste pour te dire que notre petit frère a entre 5 et 10 ans comme tu le sens (oui parce que y a des photos d'ashton avec son petit frère et ça m'arrange )
edit: au passage le début de ta fiche est zkhmgmlhrgmklhrekhlmgrhklmgrmkhlgerhklger CA VA ETRE TROP BIEN JE SUIS TROP CONTENTE OMG RMEHGMLHERKKHGERLKHLM
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 11:21
Fiche terminée les pouleeeets.
Elian l. Tràn
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 11:56
J'aiiiiiiiiiiiiime tellement ton histoire, et ta façon d'écrire.
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 12:04
Merci beaucouuuup, t'es chou.
Maxime S. Thunderson
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 15:03
MAXIME ET LOUISE SE SONT FAIT VIOLER A PEU PRES A LA MÊME PERIODE JE PLEURE DES LARMES DE SANG
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 16:05
NAAAAAN, JUUUUUUUUUURE. NOS VIES SONT LIÉES -PAR LE SANG DE TES LARMES- *out*
Spoiler:
C'est le destin. MARRY ME, OK ?
Maxime S. Thunderson
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 16:51
MARIONS NOUS DANS L'IMMEDIAT
Louise H. McCartney
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ? Lun 10 Juin - 19:46
Je t'attends à l'église, kestufééé ?
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Sujet: Re: LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ?
LOUISE ∞ Je trouve ça vraiment malsain de dire ” Salut ” à quelqu'un. Sérieux, l'autre il a rien demandé et toi, direct, tu le traites de U. Non mais franchement, dans quel monde vit-on ?